Publié le 19 décembre 2024 à 12h26 / Modifié le 19 décembre 2024 à 12h29.
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Volodymyr Zelensky est une nouvelle fois, ce jeudi, l’invité d’un sommet des chefs d’Etat et de gouvernement européens à Bruxelles, le dernier de l’année. Tout aussi important est ce qu’il a fait la veille : il a participé à un mini-sommet informel organisé à la résidence du patron de l’OTAN, Mark Rutte. Une première. Symboliquement, le président ukrainien fait un pas supplémentaire vers la « maison de l’OTAN » alors que son souhait d’une adhésion rapide ne se réalisera pas. Mais ce mini-sommet reflète surtout l’enthousiasme et l’inquiétude des Européens à moins d’un mois de l’entrée en fonction de Donald Trump à la Maison Blanche.
Objectif : se serrer les coudes et ne pas être exclu des négociations que compte lancer le président américain, alors qu’il se targue d’être capable de mettre un terme au conflit « en 24 heures ». Mais pensez aussi aux nouvelles garanties de sécurité à offrir à l’Ukraine, qui a urgemment besoin de nouveaux systèmes de défense anti-aérienne.
