L’Iran finance un nouveau plan pour convertir les mollahs et les femmes marocaines enrôlées au chiisme – .

L’Iran finance un nouveau plan pour convertir les mollahs et les femmes marocaines enrôlées au chiisme – .
L’Iran finance un nouveau plan pour convertir les mollahs et les femmes marocaines enrôlées au chiisme – .

Il s’agit d’une nouvelle tendance, décrite comme «inquiétant“, et qui fait actuellement l’objet de nombreuses questions. Les membres de la communauté marocaine résidant en Belgique signalent un nombre croissant de femmes marocaines, qui vivent dans ce pays ou dans d’autres pays d’Europe occidentale, et qui se retrouvent à se marier selon “Rites chiites», ce qui pourrait être vu comme l’orchestration d’une vaste opération d’endoctrinement.

Le but des promoteurs de ce courant : non seulement introduire ces femmes marocaines, nées musulmanes et donc sunnites malékies, dans l’un des mouvements chiites les plus rigoureux qui soient, mais aussi faire en sorte que les enfants qu’elles s’apprêtent à mettre au monde soient attirés par cette tendance.

Selon des sources fiables interrogées par Matin Depuis ce lundi 1er juillet, c’est le régime iranien qui est le parrain de cette vaste opération de recrutement, ciblant exclusivement les femmes marocaines vivant en Europe occidentale. L’objectif poursuivi par Téhéran est de convaincre les personnes qui adoptent les principes du chiisme rigoriste du régime des mollahs d’épouser des Marocaines.

Le quotidien rapporte que, selon des sources bien informées, cette tendance prend actuellement des proportions importantes en Belgique, où de plus en plus de ces «Mariages chiites» sont observés, où les mariées sont marocaines, souvent porteuses d’une autre nationalité.

Selon les mêmes sources, au moins une centaine de femmes sont actuellement concernées, dont un grand nombre se sont vu proposer un séjour en Iran et dans les régions chiites d’Irak, dans le but que «ces rites chiites» leur être inculqué.

La plupart de ces femmes viennent, selon des sources interrogées par le quotidien, des villes du nord du Royaume et des montagnes du Rif, et pour cette opération, elles auraient été approchées dans les mosquées et lieux de culte musulmans qu’elles fréquentaient à Bruxelles, Liège. , Charleroi et Anvers.

De plus en plus de cérémonies de mariage de ce type ont été observées à Bruxelles, où des rituels ont été observés que les invités considéraient comme «bizarre» et «totalement étranger aux coutumes marocaines».

Matin indique que les autorités belges ont elles-mêmes constaté cette tendance, qualifiée de «de s’inquiéter« Et selon les informations recueillies par le quotidien, ces cérémonies de mariage sont «financé par des sources étrangères».

Le quotidien a également pu vérifier l’information selon laquelle des sites culturels et des lieux de culte seraient utilisés par des partis chiites, dans le but de recruter des femmes marocaines, ciblées pour cette opération d’endoctrinement.

Parallèlement au constat de cette tendance, plusieurs membres de la communauté marocaine établie en Belgique se sont inquiétés de la forte augmentation, constatée récemment, du nombre de «Centres d’études chiites», qui initient de plus en plus d’événements, dans le but inavoué de «promouvoir» leur culte.

Les sources deMatin font état des craintes de ces Marocains de la diaspora : que ces actions, censées viser «promotion» d’une vision du chiisme propre au régime iranien, ne finissent pas par s’installer au Maroc, notamment dans les régions du nord du Royaume, d’où sont originaires les femmes qui ont été ciblées en Belgique.

Par Fayza Senhaji

30/06/2024 à 20h02

 
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