Breaking news
Une maison France Services ouvre à Guéret ce jeudi -
les dessous d’un gigantesque marché mondialisé -
le retour de la fracture sociale – Libération -
“Je veux créer de la confiance, pas de la méfiance” -
Un numéro positif – Medialot -
Avec Moana 2, Disney revient en force -

Parano Escobar pose le « micro » pour toujours

Parano Escobar pose le « micro » pour toujours
Parano Escobar pose le « micro » pour toujours
Parano Escobar pose le « micro » pour toujours
type="image/webp">>
Mparany Honoré Andriananjarivo, un des membres fondateurs du « clan » Masobongolava de Tsiroanomandidy. (Crédit photo : Masobongolava – partagé, non vendu)

L’hommage des ténors du hip hop tananarivien comme Diojay, Doubl’enn, Tonguenat, Buddha El Taga, Kd Taliano et autres suffit à comprendre le statut de Mparany Honoré Andriananjarivo. La mort à Tsiroanomandidy, le 11 novembre en début de soirée, de la figure phare du rap underground malgache à 40 ans, connu sous le nom de scène Parano Escobar, a surpris le macrocosme des musiques urbaines nationales. C’est dans son sommeil, avant le dîner, que ses proches n’arrivaient plus à le réveiller. LE ” clan » Masobongolava perd ainsi son chef, son métronome. “ En plus d’être rappeur, il était membre du personnel administratif du lycée Tsiroanomandidy. », raconte Joni Montana, son frère micro. Selon les premières informations, les funérailles devraient avoir lieu aujourd’hui. Parano Escobar avait influencé la scène underground avec des textes toujours pleins de sens. Peu de place aux bêtises ou aux querelles de cour de récréation, il s’en est pris avec verve au système dominateur et rapace, aux mauvais comportements sociaux… Le rappeur a laissé plusieurs titres devenus héritage culte chez la jeunesse consciente, » Si je meurs », devenu l’hymne de ralliement après sa mort, « Tirez sur le ciel » et d’autres.

Maminirina Rado

 
For Latest Updates Follow us on Google News
 

NEXT « Mon Amérique n’est pas celle de Trump ! » »