Cet article a été automatiquement traduit de HIBAPRESS, la version arabe :
Heba Press – Al-Bayda
Le parquet général près le tribunal correctionnel d’Ain Sebaa à Casablanca a décidé de placer un avocat de l’Autorité de Casablanca à Oukacha, la prison civile, pour escroquerie.
Les détails de l’affaire remontent à l’une des femmes accusant l’avocat d’avoir reçu une somme de 10 millions de centimes, affirmant que celle-ci était destinée à être remise à un juge pour examiner son dossier. La femme a documenté le processus audio et vidéo, qui a conduit à l’ouverture d’une enquête contre l’avocat pour abus de pouvoir professionnel.
Selon des sources médiatiques, l’avocat a nié les accusations portées contre elle, estimant qu’il s’agissait d’une tentative de dénaturer sa réputation et que la femme cherchait à éviter de payer les honoraires qui lui étaient dus.
En revanche, le ministère public a décidé de poursuivre l’avocat, en attendant la fin de l’enquête.
Cet incident met en évidence l’importance de la transparence et de l’intégrité dans la relation entre les avocats et leurs clients, ainsi que la nécessité de respecter les normes professionnelles et éthiques pour éviter tout litige pouvant entraîner des sanctions judiciaires.