«C’est compliqué de courir dans ces conditions», souffle Beyou

«C’est compliqué de courir dans ces conditions», souffle Beyou
«C’est compliqué de courir dans ces conditions», souffle Beyou

Confronté à de grosses fluctuations météo au large des côtes argentines, Jérémie Beyou n’a pas vraiment eu le temps de se réveiller.

« Là j’ai 28 nœuds de vent au près, et la mer est très courte »résumé avec l’organisation Jérémie Beyou (Charal), actuel 7ème. « Ça tremble beaucoup, on cherche notre chemin entre cette dépression orageuse qui arrive dans notre Ouest et cet anticyclone qui est dans notre Est. Entre les deux il y a un flux de nord, entre 25 et 30 nœuds, par contre dans des minimums orageux comme ça, c’est un peu n’importe quoi, il y a des grosses tempêtes que j’essaie d’éviter »il a expliqué.

Le skipper de 48 ans, 3ème du Vendée Globe en 2017, a été récemment confronté à un début d’incendie, ce qui l’a rendu d’autant plus vigilant à tout incident électrique à bord. « C’est compliqué de courir dans ces conditions, donc ce n’est pas très amusant. Être en groupe ajoute de la pression, on ne peut pas faire beaucoup d’erreurs, ces bateaux vont vite autour de toi !a souligné le Finistère, coincé au classement entre Nicolas Lunven (Holcim – PRB) et Sam Goodchild (Vulnérable). Denis van Weynbergh (Groupe D’Ieteren), 35ème et actuellement dernier de la flotte, a abordé 2025 avant la majorité de ses concurrents. Le Belge n’a dépassé la Tasmanie que récemment.

 
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