Equipe surprise de la saison dernière avec 23 journées de podium avant de s’effondrer, le 12e budget de L2 cette saison (11,5 millions d’euros) « a lancé un nouveau cycle » : un 3-4-3 préférentiel conservé et la même volonté de verticalité mais « une équipe rajeunie ». équipe, des joueurs offensifs avec des caractéristiques différentes ». Les ailiers Mamadou Camara (ex-QRM) et Malik Sellouki (ex-Den Haag aux Pays-Bas) sont venus encercler les points d’appui Siriné Doucouré (prêté par Lorient) ou Malik Tchokounté. Résultat : la 15ème attaque de L2 passe au 4ème rang et, après quelques hésitations, l’équilibre est trouvé (5ème défense).
« Base éprouvée » et fraîcheur
Si les Mérignacais tablaient sur une baisse de vigilance, ce fut aussi un échec : « depuis 6 ans que je suis à Laval, je n’ai eu à affronter en Coupe que deux équipes hiérarchiquement supérieures. J’ai un groupe travailleur et engagé. Pas besoin de connaître la concurrence pour croire à une détente. Il n’y a pas de petit ou de gros match nul, il y a un adversaire” répond l’ex-entraîneur de Créteil et d’Orléans, dont l’équipe a sorti Nantes (L1) la saison dernière mais a aussi perdu à Orvault (R1, 1-1, 6-5 tab). il y a deux ans ou au Puy (N2, 2-1) en huitièmes de finale en février dernier. Lors des tours précédents cette année, elle était sortie aux tirs au but à Vitré (N3) puis face à Concarneau (N1).
Le terrain très compliqué de Robert-Brettes ? « Pour faire un bon spectacle, il faut un terrain de jeu de qualité. Sinon, nous nous adapterons. Mérignac aussi, c’est une équipe qui joue dans une bonne dynamique”, souligne Olivier Frapolli, qui a étudié son adversaire en vidéo “comme tous les autres. »