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pour l’ancien du Tours FC Gaëtan Englebert, « c’est maintenant que tout commence » pour la Belgique – .

pour l’ancien du Tours FC Gaëtan Englebert, « c’est maintenant que tout commence » pour la Belgique – .
pour l’ancien du Tours FC Gaëtan Englebert, « c’est maintenant que tout commence » pour la Belgique – .

Il y a relativement peu de joueurs belges qui ont joué dans notre secteur. Il y a encore moins de joueurs internationaux, mais Gaëtan Englebert, qui a joué au Tours FC entre 2008 et 2010, en fait partie.

Le milieu défensif, désormais manager du RFC Liège (deuxième division), a porté neuf fois le maillot des Diables Rouges, dont une fois contre l’équipe de France. C’était à quelques semaines du Mondial 2002, terrible pour les Bleus. Les Tricolores se sont également inclinés 2-1 face à Gaëtan Englebert et ses coéquipiers.

Gaëtan, pensez-vous qu’il existe une réelle rivalité entre la France et la Belgique ?

« Oui, comme c’est souvent le cas entre pays voisins, sans plus. Je pense que c’est toujours bon enfant. Après, c’est sûr qu’avec les deux derniers matches et les résultats (Défaites de la Belgique en demi-finale de la Coupe du Monde 2018 et en demi-finale de la Ligue des Nations 2021)il y a une rivalité un peu plus grande peut-être que par le passé. »

Que représente ce match de 2018 pour les Belges ?

« Nous en avons beaucoup parlé. Pour moi, cela ne représente rien de plus qu’un pays qui a atteint les demi-finales alors qu’il n’a que onze millions d’habitants. Ce n’est pas mal du tout, mais nous en voulons toujours plus. C’est une magnifique histoire pour le pays et c’est vrai que perdre en demi-finale est toujours une honte. Mais la campagne qu’ils ont menée là-bas (en Russie) était vraiment d’un haut niveau. Ils ont terminé troisièmes et c’est plus qu’honorable pour un pays comme la Belgique. »

À quoi cela se résume-t-il ?

« Vraiment pas grand chose… C’est peut-être un manque d’expérience dans les grands tournois. C’est quelque chose qu’on n’a pas non plus chez les jeunes et en équipe première, à part deux demi-finales en quarante ans. (Coupes du monde 1986 et 2018). Ce manque d’expérience fait qu’il manque quelque chose pour aller jusqu’au bout.

Et cette année, les débuts de la Belgique ont été compliqués…

« Toutes les équipes qui ont des joueurs dans les grands championnats ont eu des difficultés physiquement et à entrer dans la compétition. Le plus important est d’arriver prêt lors des matchs éliminatoires. C’est maintenant que ça commence. »

Comprenez-vous la réaction des supporters belges, qui ont sifflé les joueurs lors du dernier match ?

“Non. Les supporters n’analysent pas les choses comme les journalistes ou les footballeurs, mais ils aiment voir une équipe qui va de l’avant. Il y a eu un ou deux corners qui n’ont pas vraiment été tirés pour marquer en fin de match, c’est vrai, mais on peut comprendre ça. On a éliminé le Japon en 2018 sur un corner mal pris par les Japonais. Ce sont des choses qu’il faut pouvoir jouer sans commettre d’erreurs.

Êtes-vous optimiste avant le match de lundi ?

« Ce que nous avons montré jusqu’à présent, en termes d’occasions devant le but, n’est pas terrible mais c’est pareil pour les Français. Il y a encore de grosses différences de qualité entre les joueurs mais ce sera la forme du jour, la confiance et la réussite qui feront la différence. »

La liquidation du Tours FC

« Je ne savais pas du tout que le Tours FC avait été liquidé. Je savais qu’il y avait des problèmes financiers… C’est dommage de voir des clubs où il y avait tout pour arriver à quelque chose qui, à cause d’une mauvaise gestion, se retrouvent beaucoup plus bas et en difficulté. C’est partout et en Belgique aussi. C’est dommage pour un club où j’ai passé de belles années. »

 
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