Ayant décidé il y a une quinzaine d’années de se lancer dans l’art pictural, Monique Perry a aujourd’hui acquis une maîtrise et un style qui lui sont propres. A l’acrylique ou au pastel, elle pose sur la toile les portraits et les corps féminins qui nourrissent son inspiration.
Son exposition à la galerie Bailli traite d’un sujet qui lui tient à cœur : les femmes tondues à la fin de la Seconde Guerre mondiale. Les visages de ces victimes publiquement humiliées, parfois accusées à tort d’avoir flirté avec l’envahisseur, s’affichent en grand format sur les tableaux de Monique Perry. Ces ouvrages sont accompagnés de textes et d’articles d’époque, pour dénoncer « cette maltraitance scandaleuse, ce pouvoir malsain qui vise à enlaidir les femmes au point de les effacer de la communauté. »
Ce contenu est bloqué car vous n’avez pas accepté les cookies et autres traceurs.
En cliquant sur ” J’accepte “des cookies et autres traceurs seront placés et vous pourrez visualiser le contenu (Plus d’information).
En cliquant sur “J’accepte tous les cookies”vous autorisez le dépôt de cookies et autres traceurs pour le stockage de vos données sur nos sites et applications à des fins de personnalisation et de ciblage publicitaire.
Vous pouvez retirer votre consentement à tout moment en consultant notre politique de protection des données.
Gérer mes choix
J’accepte
J’accepte tous les cookies
Une lecture sera présentée samedi soir avec des illustrations réalisées par les élèves de la comédienne Amélie Armao. Les peintures de Mariel Fransot sont également visibles au Bailli dans son exposition Phare & boussole.
