Un programme de réinsertion sociale par le travail est implanté à Saguenay – .

Un programme de réinsertion sociale par le travail est implanté à Saguenay – .
Un programme de réinsertion sociale par le travail est implanté à Saguenay – .

Le programme Travail alternatif payé à la journée (TAPAJ) est maintenant en déploiement au Saguenay après avoir connu un grand succès à Dolbeau-Mistassini.

La Ville s’associe à l’organisme Équitem pour mettre en place ce programme québécois qui vise à soutenir les personnes en situation de précarité sociale afin de s’impliquer dans des activités professionnelles.

La mission de l’organisme est de favoriser l’intégration sociale et professionnelle des personnes en situation de précarité.

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Karen Villeneuve est agente de scène pour le programme TAPAJ.

Photo : Radio-Canada / Gabrielle Morissette

TAPAJ, qui existe partout au Québec, est un programme incroyable qui permet à des personnes en situation précaire d’être payées quotidiennement ou hebdomadairement. Donc ça permet une estime de soi, un retour », « texte » : « Nous sommes actuellement en réduction des risques, en réinsertion sociale. Le programme TAPAJ, qui existe partout au Québec, est un programme incroyable qui permet à des personnes en situation précaire d’être payées à la journée ou à la semaine. Donc ça permet une estime de soi, un retour”}}”>Nous sommes actuellement en réduction des risques, en réinsertion sociale. Le programme LUTTE qui existe partout au Québec est un programme incroyable qui permet aux personnes qui sont dans une situation précaire d’être payées à la journée ou à la semaine. Donc ça permet une estime de soi, un retoura indiqué Julie Dufour, mairesse de Saguenay.

Le programme débutera officiellement dans les semaines à venir. Les participants auront ensuite la possibilité de poursuivre leur parcours dans les différents programmes de longue durée d’Équitem.

Plateaux de travail

LUTTE s’appuie sur une formule quotidienne de plateformes de travail pour favoriser l’engagement et la participation dans un cadre structuré et valorisant.

Ce n’est pas un contrat avec cette clientèle, dans le sens où ils viennent pour une journée et on les accueille tels qu’ils sont et on les emmène là où ils sont. Nous travaillons avec eux, nous leur montrons aussi de bonnes habitudes de travail. Ils peuvent revenir ou non. Ce sont des plans de travail vraiment courtsa expliqué Annie Doyon, directrice des partenariats et du développement d’Équitem.

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La directrice des partenaires et du développement d’Équitem, Annie Doyon, assure que le programme repose sur une formule flexible qui permettra une meilleure participation.

Photo : Radio-Canada / Gabrielle Morissette

Plusieurs effets positifs sont attendus du déploiement de ce programme, dont une meilleure cohabitation entre tous les citoyens.

TAPAJ, alors les gens diront: « D’accord, ce sont TAPAGEURS, ils nettoient un parc. Ils participent à faire quelque chose de bien dans la communauté » », « texte » : « Cela aide aussi à changer la vision des gens autour. En plus, quand on va être sur les plateaux, on va avoir des dossards identifiés, donc les gens diront : « Ok, ce sont des TAPAJers, ils nettoient un parc. Ils aident à faire quelque chose de bien dans la communauté\””}}”>Cela contribue également à changer la vision des gens autour. De plus, lorsque nous serons sur les plateaux, nous aurons des dossards identifiés LUTTEalors les gens diront : « D’accord, ce sont TAPAGEURS« Ils nettoient un parc. Ils contribuent à faire quelque chose de bien dans la communauté. »a ajouté Karen Villeneuve, agente de scène pour le programme LUTTE.

 
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