La Ville d’Ottawa entame des pourparlers sur les retards de la phase 2 du train léger – .

La Ville d’Ottawa entame des pourparlers sur les retards de la phase 2 du train léger – .
La Ville d’Ottawa entame des pourparlers sur les retards de la phase 2 du train léger – .

Les conseillers municipaux d’Ottawa ont demandé à la directrice municipale Wendy Stephanson d’entamer une nouvelle ronde de négociations en vue d’un règlement sur le train léger sur rail, tout en fournissant peu de détails sur les demandes elles-mêmes. même.

La motion, qui a été adoptée mardi après une longue réunion à huis clos, fait référence aux projets de la phase 2, qui sont tous en retard sur le calendrier.

La Ville n’a pas voulu confirmer si cela concernait Connecteurs Est-Ouestqui travaille au prolongement de la Ligne de la Confédération d’est en ouest de la ville, ou TransitSuivantqui est responsable des travaux sur la ligne Trillium du nord au sud d’Ottawa.

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Le maire d’Ottawa, Mark Sutcliffe (photo d’archives)

Photo : Radio-Canada / Olivier Plante

Le maire Mark Sutcliffe a déclaré aux journalistes après la réunion du conseil municipal de mardi que des villes du monde entier étaient confrontées à des demandes d’indemnisation similaires liées aux retards de construction causés par la pandémie.

Cela fait malheureusement partie des projets d’infrastructure pendant la COVID, et nous faisons de notre mieux pour les résoudre dans l’intérêt des contribuables.

Cela inclut la recherche d’un autre niveau de gouvernement pour compenser les pertes financières importantes.

La motion des élus municipaux demande à Mme. Stéphanson et au maire de solliciter le soutien financier des gouvernements provincial et fédéral dans le cadre de cette démarche.

M. Sutcliffe a refusé de commenter l’ampleur de l’impact que ces réglementations pourraient avoir sur les finances de la ville.

Plusieurs revendications en jeu

Au début de l’année dernière, la Ville a conclu un règlement à l’amiable avec le constructeur du système de transport, le Groupe de transport Rideau (GTR), au sujet de réclamations liées aux retards dans le lancement de la phase 1 du train léger. À l’époque, il n’était pas question de demander de l’aide à d’autres niveaux de gouvernement.

Aucun détail sur le montant négocié n’a été divulgué, mais des sources ont indiqué Radio-Canada que cela représentait des millions de dollars.

Les problèmes juridiques de la ville concernant le train léger sur rail remontent à 2021, lorsqu’elle a intenté une action en justice de 131 millions de dollars contre le RTM. Le fabricant a fait valoir qu’il n’était pas responsable du retard et a intenté une action en justice de 225 millions de dollars.

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Les déboires juridiques de la Ville concernant le train léger sur rail remontent à 2021. (Photo d’archive)

Photo : Radio-Canada / Jonathan Dupaul

Cette fois, plusieurs plaintes ont été déposées, mais M. Sutcliffe n’a pas souhaité en dire plus ni nommer les entreprises concernées.

Il s’agit d’un projet à grande échelle. Ce sont plusieurs lignes. Plusieurs entrepreneurs sont impliqués et tous ont connu des retards liés à la COVID» a-t-il déclaré, soulignant encore une fois que ce scénario se répète partout en Amérique du Nord. Naturellement, les entrepreneurs s’adressent à leurs clients et leur disent : « Voici nos coûts associés au COVID et aux autres problèmes qui en découlent. Nous voulons les résoudre.

Un avenir financier incertain

OC Transpo fait face à une situation financière difficile, susceptible de s’aggraver, et ses revenus mensuels sont régulièrement inférieurs aux prévisions.

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Les constructeurs de la Ligne de la Confédération continuent de tenter de résoudre les problèmes qui ont mené aux déraillements.

Photo : Radio-Canada / Francis Ferland

Les constructeurs de la Ligne de la Confédération continuent d’essayer de résoudre les problèmes qui ont conduit à des déraillements, à des limitations de vitesse et à un nombre croissant de fermetures de trains légers ces dernières années.

Je sais que les gens regardent cela et disent : « Nous déposons des réclamations juridiques, cela doit être dû aux problèmes que nous avons eu avec le système de train léger sur rail d’Ottawa et c’est unique à Ottawa. » Ce n’est pas de ça qu’il s’agit.

Lorsqu’on lui a demandé ce qu’il dirait aux usagers des transports en commun et aux contribuables inquiets, Sutcliffe a déclaré qu’il était également préoccupé par les importants déficits budgétaires des transports en commun, la baisse de l’achalandage et l’impact des politiques de télétravail du gouvernement fédéral.

Mais il n’a montré aucune inquiétude quant à la façon dont les discussions juridiques en cours pourraient avoir un impact négatif sur les relations entre la ville et les entrepreneurs – l’un des nombreux problèmes identifiés par une enquête provinciale sur le train léger sur rail à Ottawa.

Les relations sont bonnes et c’est pourquoi nous nous efforçons de résoudre ces problèmes avec nos entrepreneurs. Si nous le pouvons, nous préférerions éviter qu’ils s’engagent dans un chemin long et coûteux, avec beaucoup de frustration et de dépenses des deux côtés.

La directrice générale d’OC Transpo, Renée Amilcar, n’a pas été mentionnée dans la motion visant à entamer les pourparlers de règlement et a refusé de rester après la réunion pour répondre aux questions des journalistes.

Avec les informations d’Elyse Skura, Radio-Canada Nouvelles

 
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