Ste-Marie et St-Joseph, pour le meilleur

Ste-Marie et St-Joseph, pour le meilleur
Ste-Marie et St-Joseph, pour le meilleur

Cette fois encore, c’est devant une salle comble que les différents intervenants devront prendre la parole.

Sainte-Marie et Saint-Joseph s’unissent « pour offrir à la Martinique de meilleures perspectives ; un avenir plus sûr.

Le premier à prendre la parole est Laurent Caclin, 3ème adjoint, il explique pourquoi il s’est engagé aux côtés de Yan Monplaisir lors des dernières élections municipales. D’abord parce que « c’est un homme qui quand il annonce qu’il va faire quelque chose : il le fait ! C’est sans doute l’un des traits de caractère de ce chef d’entreprise ; il a une culture du résultat.

Yan Monplaisir, insiste le jeune homme : « c’est un maire aussi exigeant avec lui-même qu’avec ses élus, ses collaborateurs et autres prestataires. Sa rigueur m’a réconcilié avec la politique. Il n’agit pas pour lui-même ou pour ses amis mais dans l’intérêt public.

Aussi, pour cet élu, il est important que « le travail de développement et d’attractivité que mène Yan Monplaisir à l’échelle de Saint-Joseph puisse s’étendre à l’ensemble de la Martinique ». C’est pourquoi, souligne M. Caclin, “notre conseil municipal, qui n’est pas égoïste, veut faire bénéficier l’ensemble de la Martinique de l’expertise de Yan Monplaisir en la transmettant à l’Assemblée nationale”.

Pierre Palix, élu municipal – surnommé le « maire de Gondeau » (St-Joseph) – et fidèle militant, a été impliqué dans tous les combats de Yan Monplaisir. Il dira, très sobrement, combien il aurait aimé garder son maire uniquement pour sa commune. Mais au conseil municipal, il a également soutenu la démarche de Yan Monplaisir pour porter plus loin la voix de la Martinique. « Mwen paka diw alé. Mé si ou ka alé, mwen dèyè-w”. C’est la confiance en un homme et la loyauté politique qui y ont été exprimées.

Une jeune Joséphine, Gilles Costier, dont « Yan Monplaisir est le modèle » est venu expliquer comment, encore adolescent, il a rejoint son mentor dès ses premiers pas politiques à Saint-Joseph. Lorsqu’il a souhaité créer son entreprise, l’homme d’expérience lui a prodigué conseils et encouragements. Cependant, en lui disant : « si ou pè pwan kou, pa alé ». Et le jeune entrepreneur de conclure : « la vie d’entrepreneur, c’est comme la vie politique : on reçoit des coups et des coups bas mais on se relève et on repart au combat ».

Le risque est l’égoïsme

Claude Adèle, la première adjointe de la conseillère Joséphine, rappelle les différentes tentatives infructueuses de Yan Monplaisir pour devenir (enfin!) maire de Saint-Joseph. Aujourd’hui, il déclare : « la population regrette d’avoir si longtemps tardé. Certains disent même que nous avons 25 ans de retard ! Le travail réalisé par Yan et son équipe municipale, en trois ans, est plus important que celui qu’auront tenté de faire les maires des mandats précédents pendant toutes ces longues années.

Aussi, M. Monplaisir risque d’être « victime de son succès ». C’est en tout cas ce que pense Claude Adèle : « une partie de la population a peur de voter pour notre maire, de peur de le perdre ».

Le candidat a toutefois assuré à son conseil municipal qu’il resterait « un conseiller actif » en cas de victoire aux législatives. « Nous savons à quel point le maire souhaite voir aboutir les projets en cours et mettre en œuvre tous les projets que nous avons en cours. » Aussi, affirme le député, « notre adjoint aura un statut très particulier, voire exceptionnel au sein de notre commune. Notre peuple n’est pas égoïste. Elle pourra partager les talents de notre maire, pour le bénéfice de tous, une fois qu’il sera à l’Assemblée nationale.

La foule applaudit !

De son côté, Max Pied, une Joséphine avec une longue expérience politique, précise : « le député est celui qui crée et entretient un réseau. Yan Monplaisir a déjà le sien. Aussi, l’avoir à l’Assemblée nationale, c’est bénéficier de l’expérience d’un homme dont l’influence peut encore grandir au profit de toute la Martinique.»

Forcément, les violons des élus et des militants sont bien accordés.

Action pour moteur

Nausica Niasme, parfois concurrent politique à telle ou telle autre élection, mais jamais opposant à Yan Monplaisir, démontre qu’il est républicain et aussi démocrate : « Yan Monplaisir est un homme libre parce qu’il ne fait pas de politique pour la vie mais pour la vie. idées, pour l’action qui en est le moteur ». Et l’orateur de poursuivre avec un clin d’œil à l’histoire : « St-Joseph doit, pour la première fois de son existence, élire son adjoint. Ayons la fierté d’offrir au Nord, à toute la Martinique, un député de cette qualité » !

Cette dernière phrase est accueillie par un tonnerre d’applaudissements.

C’est aussi ce à quoi répond Pierre-Marcel Diaz, militant samaritain expérimenté des batailles électorales et… père du suppléant. « Amis Joseph, ne gardez pas Yan juste pour vous. La Martinique a besoin d’hommes comme lui ! Ne soyez pas égoïste, faites bénéficier le reste de la Martinique des talents et de la force de conviction de votre maire.

S’il n’est pas certain qu’il y ait eu consultation, il est certain qu’il y a eu répétition ; partage d’écho.

Jean Baptiste Rotsen, 2e adjoint au maire de Ste-Marie, prend un autre registre : « Il faut, en ces temps troublés, que l’Assemblée nationale ait des hommes qui ne sont pas là pour défaire la République mais qui viennent renforcer les bases républicaines de notre société”. En fait, le public a bien compris son allusion aux extrêmes. Ceux qui détestent tous ceux qui ne sont pas comme eux et ceux qui s’en vont L’Azerbaïdjan cherche du soutien pour déstabiliser la France, afin d’obtenir l’indépendance de la Martinique.

Trahison sans raison

Quand Bruno Nestor Azérot prend la parole, comme à son arrivée, la foule scande «

Tôtor, Tôtor, Tôtor…! « . Le maire de Ste-Marie ne cache pas son plaisir. Mais aussitôt, bien qu’il affirme ne pas être « un joueur de ballon », il s’empare du ballon et réalise la passe avec son assistant. “Nadeau abuse des Martiniquais”. M. Azérot déplore que « tout ce pwoblèm juste Matinik Sé en Azerbaïdjan ou ka kouri monté pour être envoyé plus tard sans faute, avec l’argent du contribuable français » !

« Quand Nadeau dit que Capnord prive d’eau la CACEM, il ment ! « . Celui qui lui avait auparavant apporté son soutien le jugeait comme un homme « sans paroles, sans loyauté, un traître ».

Le public reçoit le message avec enthousiasme : « Tôtor, Tôtor, Tôtor… » !

Si la Martinique n’a pas d’eau, c’est aussi à cause de l’inertie du député sortant qui, dira un militant : « n’a que des flots de paroles », alors que la Martinique a soif ; «bouch li reté fèmé sèk. Pa on mo soti pou mandé dlo pou tout moun.

Violaine Diaz, adjointe de Yan Monplaisir à cette élection législative, dira simplement : « Je suis arrivée aux côtés de Yan parce que lui, comme Alfred Marie-Jeanne, a adopté une ligne politique dont il ne s’est jamais écarté. Il est capable de faire preuve d’ouverture, chaque fois que l’intérêt supérieur du pays le justifie, mais sans jamais renier ses convictions.»

Yan Monplaisir, candidat à la députation dans la 2e circonscription, conclura cette rencontre avec des mots aussi simples que sincères : « Je remercie, du fond du cœur, Sainte-Marie et surtout Bruno Nestor Azérot pour ce franc soutien.

Aujourd’hui, l’engagement de Ste-Marie et de son maire offre de belles perspectives pour ce scrutin et l’avenir de la Martinique.

Comme Voltaire, Yan Monplaisir sait que « ce qui touche le cœur se grave dans la mémoire »…

Le public démontre, une fois de plus, son engagement et sa foi en voyant Yan Monplaisir et Violaine Diaz porter plus loin la voix de la Martinique.

« Député Yanou, député Yanou, député Yanou !!! « .

Jean-Laurent ALCIDE

 
For Latest Updates Follow us on Google News
 

PREV pourquoi le débat politique est-il interdit en France à la veille du vote ? – .
NEXT Pontarlier. Quelques idées de sorties dans le Haut-Doubs pour le week-end du 1er et 2 juin