Laurent Polge succeeded Jean-Louis Rey as president of the Hérault Tennis committee.
C’est une suite logique dans la « carrière » bénévole de Laurent Polge ! Lors de l’assemblée générale du comité du tennis héraultais, le vice-président du comité pendant huit ans, a succédé à Jean-Louis Rey qui, après quatre mandats, avait choisi de quitter la présidence.
L’homme a le tennis dans le cœur, depuis plus de trente ans au sein des instances départementales et régionales. “J’ai commencé le tennis à 7 ou 8 ans, dans un petit club des Cévennes.« Gardois avant de traverser le Vidourle. « Je n’ai jamais eu d’ambition particulière ; Je me suis retrouvé président de club, à Palavas, sans avoir l’envie de l’être et je n’avais pas non plus l’idée de devenir un jour président du comité. “
“J’aime jouer pour mon sport”
Les circonstances font qu’un jour on s’engage, explique Laurent Polge : « JeJ’ai toujours aimé organiser des compétitions et agir pour mon sport. Quand j’étais enfant, adolescent, nous faisions les Jeux Olympiques dans le quartier avec des amis et c’était moi qui les organisais. Mais bon, présider un comité, ce n’est pas seulement organiser des compétitions.
Laurent Polge a énuméré des axes de travail en commençant par davantage de formation des arbitres et des arbitres. « Nous avions déjà anticipé cette problématique. Il faut ensuite encourager et accompagner les jeunes dans leur progression en leur offrant les meilleures conditions possibles ».
L’Open international féminin en pause
Autres points, soutenir le développement de nouvelles disciplines associées – padel, beach tennis, pickleball – accessibles et attractives, tout en renforçant le paratennis (tennis fauteuil roulant, sport adapté).construire un sport plus inclusif et accessible à tous. Mon désir est donc de créer une compétition de tennis en fauteuil roulant sur ce mandat.
La saison sera en revanche blanche pour les dames et l’Open international de Montpellier qui s’est joué sur la terre battue de Grabels, alors que le club porteur, l’ASCH, avait annoncé son retrait de l’organisation après dix-huit éditions. Trouver un autre lieu, une autre date, une autre surface ?, au sein de la métropole montpelliéraine fera donc partie des enjeux de ce mandat. “Nous espérons pouvoir trouver une solution pour organiser une compétition féminine pour l’édition 2026. Où et quand ? Cela reste une énigme. »