Trois frères jugés pour des violences en bande commises à Valentigney

Trois frères jugés pour des violences en bande commises à Valentigney
Trois frères jugés pour des violences en bande commises à Valentigney

Le tribunal de Montbéliard a jugé ce jeudi un cas de violences en réunion avec armes, commis à Valentigney en mai 2021. Trois frères étaient présents sur le banc des accusés. Ils auraient battu un homme avec des barres de fer et seraient accusés d’avoir tiré sur un autre homme avec des barres de fer. un fusil de chasse quatre jours plus tard. Tout cela sur la base de compte. Le parquet a requis entre 2 ans et demi et 3 ans et demi de prison, ainsi qu’une interdiction de port d’arme pendant 10 ans.

L’accusé a nié les faits tout au long de l’audience

Si nous écoutons leur versions des faits : Ils sont les victimes. Les trois frères affirment avoir été piégés par le gang rival, qui veut les faire tomber. “Ce sont eux qui sont venus chez nous, Madame. “Nous avons appelé la police parce que nous avions peur.”, crie l’un d’eux au président. Cependant, il n’y a pas rien sur les relevés téléphoniques. “C’est parce que vous avez mal mené votre enquête, Madame. l’aîné de la fratrie se met en colère.

Pour l’affaire de la fusillade, ils affirment qu’ils n’étaient pas pas à Valentigney au moment des faits. Lorsque le président a demandé au cadet ce la voiture de son partenaire ce que faisait sur les lieux des violences, son grand frère l’a interrompu pour dénoncer une configuration. Le président lui demande de quitter la salle pour se calmer. “Ce sont toujours les mêmes qui sont condamnés, tout cela parce que nous sommes pauvres.» crie-t-il en partant.

Le victime prétend avoir reconnu les trois frères dans les sièges auto. Les deux anciens contestent le témoignage : «C’est une myopie qu’il puisse nous reconnaître au milieu de la nuit.

Il ne reste que le plus jeune silencieux pendant la séance. La plupart du temps, il répond aux questions du président en hochant la tête. Il se tient à l’écart, les mains croisées dans le dos. Le procureur exige 2 ans et demi la prison pour lui, c’est un an de moins que pour ses frères.

Les preuves sont-elles suffisantes ?

C’est la question qui a animé les débats ce jeudi au tribunal de Montbéliard. Pour les avocats des victimes et le procureur, sans aucun doute, tous les éléments correspondent. D’abord parce que le téléphones des trois frères diffusé à Valentigney, sur la scène du combat le 20 mai 2021. Ensuite, parce que barres de fer et une batte de baseball artisanale ont été trouvés dans le coffre de la voiture du cadet. La victime affirme toutefois avoir été frappée avec ces armes.

Pour le cas de la fusillade, c’est pareil : les téléphones les localisent aussi sur les lieux des violences, et la police a constaté le Plaque d’immatriculation de la voiture où se trouvaient les tireurs. C’était à propos de celui du compagnon de l’un des accusés.

Elle est l’avocate du plus jeune frère qui doute, le seul défendu dans cette affaire. Les deux autres n’avaient pas d’avocat. D’après elle, aucun élément objectif ne permet pas de l’accuser. Son téléphone n’a pas transmis à Valentigney au moment des faits, mais le lendemain matin : ce n’était pas le cas. pas assez pour affirmer qu’il était là lors des violences selon elle.

La victime est le seul l’avoir reconnu, sur les sièges arrière de la voiture. L’avocat du prévenu se demande comment il a pu le reconnaître en pleine nuit, alors que les voisins ne voyaient qu’un véhicule noir. Elle a demandé le Se détendre.

La décision du tribunal ne sera rendue que lorsque 27 juin.

 
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