Ce week-end, Halifax accueille le 11e Grand Prix de la saison SailGP, un championnat international de voile.
La capitale de la Nouvelle-Écosse est la première ville canadienne à présenter un Grand Prix du Canada dans le cadre de cette compétition regroupant une dizaine de pays.
Les bateaux sont des F50 pouvant aller jusqu’à une vitesse de 100 km/h.
Le voilier d’Équipe Canada, piloté par Phil Robertson, est dans le port d’Halifax samedi pour la première journée du Grand Prix canadien de voile SailGP.
Photo : Ricardo Pinto/SailGP via AP
Malgré le temps couvert, les supporters étaient nombreux sur le front de mer samedi.
Les organisateurs estiment que près de 10 000 personnes étaient présentes, et 500 bateaux privés au port pour assister à la course entre voiliers du Canada, d’Allemagne, d’Australie, du Danemark, d’Espagne, des Etats-Unis. Etats-Unis, France, Grande-Bretagne et Suisse.
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L’équipe néo-zélandaise du pilote Peter Burling et l’équipe espagnole du pilote Diego Botín s’affrontent samedi au Grand Prix de voile SailGP Canada dans le port d’Halifax, en Nouvelle-Écosse.
Photo : Simon Bruty/SailGP via AP
Les trois courses disputées samedi ont été remportées respectivement par l’Espagne, le Danemark et l’Australie.
Mais au total des points, la régularité de l’équipe de Grande-Bretagne, emmenée par le double médaillé d’or des JO de Rio, Gilles Scotta permis à ces derniers de créer la surprise en prenant la première place avec 23 points, devant la Nouvelle-Zélande (22 points), le Danemark (21) et le Canada (20).
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Les deux dernières courses auront lieu dimanche.
Chaque équipe dispose d’un bateau du même type. Alors ce qui fait la différence, ce sont les athlètes.
Timothé Lapauw, marin de l’équipe de France, anticipait des conditions difficiles. Nous sommes également excités car les conditions s’avèrent assez difficiles. Je pense que nous allons avoir un vent très variable, tant en direction qu’en force du vent.
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L’Australie, le Canada et le Danemark en action samedi à Halifax.
Photo : Radio-Canada / Kheira Morellon
Les passionnés de voile comme Luc Therrien étaient ravis de voir de leurs propres yeux ce type de compétition. Première fois ici. Il y a une grande file d’attente et nous sommes impatients d’entrer tous, de prendre nos places
a-t-il déclaré samedi.
Les billets pour cet événement ont été vendus en moins de quinze minutes.
Basé sur un reportage de Kheira Morellon
