La Suisse va-t-elle faire comme le Danemark il y a six ans ? – .

La Suisse va-t-elle faire comme le Danemark il y a six ans ? – .
La Suisse va-t-elle faire comme le Danemark il y a six ans ? – .

La Suisse se prépare à affronter le Canada samedi (18h20) en demi-finale du Championnat du monde à Prague. Battus 3-2 en phase de poules, les hommes de Patrick Fischer veulent prendre leur revanche.

Canadiens et Suisses se retrouvent six jours après s’être affrontés.

CLÉ DE VOÛTE

La Suisse a obtenu jeudi à Ostrava le droit de disputer la cinquième demi-finale de son histoire lors d’une Coupe du monde. Elle a perdu ceux de 1992, année de l’introduction des quarts de finale sous la forme que connaît l’OGN, et de 1998 à Zurich, mais a remporté les deux derniers en 2013 à Stockholm et en 2018 à Copenhague.

Au Danemark, l’équipe de Patrick Fischer a réalisé un match solide contre le Canada de Connor McDavid. La Suisse s’est imposée 3-2 en limitant l’impact du centre d’Edmonton à une passe décisive. Tristan Scherwey a ouvert le score, puis Grégory Hofmann et Gaëtan Haas ont ajouté deux succès en avantage numérique.

Les Fribourgeois et les Biennois sont toujours épiques en République tchèque, tout comme Roman Josi, Dean Kukan, Michael Fora, Sven Andrighetto, Kevin Fiala, Nino Niederreiter, Reto Berra et Leonardo Genoni. Et si l’on remonte à 2013, Josi, Niederreiter et Berra étaient présents, ainsi qu’Andres Ambühl.

Intensité et rapidité

Cette liste de joueurs présents il y a six ou onze ans, Patrick Fischer ne la garde pas précieusement dans un coin de sa tête. Bien au contraire. Pour l’entraîneur zougois, cela ne sert à rien de comparer les équipes à six ans d’intervalle : « Les équipes sont complètement différentes. Ce qui ne change pas, cependant, c’est que le Canada a à chaque fois une excellente équipe. Je m’attends à une rencontre avec beaucoup d’intensité et de rapidité. Il faudra être meilleur à l’échec avant que lors de notre précédente rencontre contre eux.

Si la comparaison avec 2018 ne le convainc pas, quid du premier duel face à la sélection d’André Tourigny ? La Suisse a perdu 3-2 dimanche dernier en phase de groupes pour sa seule défaite dans le tournoi jusqu’à présent.

Alors qu’il menait 2-1 dans le deuxième tiers et semblait prendre un petit avantage psychologique sur son adversaire, la Suisse a encaissé deux buts en infériorité numérique après que Kevin Fiala ait écopé d’une pénalité de cinq minutes avec un retour prématuré aux vestiaires pour une frappe du genou sur un Canadien. .

La défaite ? Une bonne leçon

“Je pense que c’était une leçon très importante pour nous”, a déclaré Patrick Fischer. Nous avons vu ce qui peut arriver lorsque nous perdons notre concentration. Cela a été le cas pendant une dizaine de minutes et nous avons vu le résultat.

Excellente à 5 contre 5, la Suisse n’a encaissé que quatre buts dans cette phase de jeu : un contre la Norvège lors du match d’ouverture et trois contre les Autrichiens dans un match un peu fou. Depuis, la base défensive a fait des merveilles. Lors des six derniers matches, elle n’a encaissé que six buts, tous en infériorité numérique.

De quoi s’inquiéter pour le coach ? «C’est toujours un thème important», note Fischer. On sait que jouer en désavantage numérique est essentiel à ce moment de la compétition. Mais je pense que contre l’Allemagne, nous avons été bons. Alors certes, on prend ce but de Kahun à 4 contre 5, mais c’est après un engagement et on aurait pu l’encaisser à nombre égal de la même manière. C’est évident que contre le Canada les situations particulières seront très importantes et il faut faire mieux que dans les quarts en avantage numérique.

jfd, ats

 
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