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L’enquête administrative de l’Education nationale a écarté toute forme de “harcèlement scolaire” après l’agression de Samara, 13 ans, violemment battue alors qu’elle sortait de son collège de Montpellier. Une conclusion que la mère de l’adolescente n’accepte pas.
Le rapport qui ne fonctionne pas. Ce mardi 30 avril, l’enquête administrative menée par l’Éducation nationale a conclu à l’absence de « situation de harcèlement scolaire » à l’encontre de Samara, qui a été tabassée le 2 avril. Contactée par RTL, la mère de l’adolescente a exprimé son indignation face à cette décision.
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«Ça me choque. Ils estimaient qu’il n’y avait aucune responsabilité », réagit la mère de Samara. « Qu’est-ce qui a été mis en place pour protéger ma fille ? Pour moi, pas grand-chose», déplore-t-elle. « Ils estiment qu’il n’y a eu aucune négligence. Ça me dérange», ajoute la mère de l’adolescent tabassé le 2 avril.
“Ce n’est pas un discours que je peux entendre.”
« Ils estiment qu’il n’y a eu aucune négligence. Cela me dérange. Ce n’est pas un discours que je peux entendre. J’ai l’impression qu’il ne devrait pas y avoir de vagues», dénonce-elle.
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La mère de Samara a également profité de cet entretien pour donner des nouvelles de sa fille : « En ce moment, elle ne va pas bien psychologiquement. Le fait qu’elle soit à la maison, qu’il n’y ait pas « d’école est pour elle une double peine », a-t-elle déclaré.
Pour rappel, début avril dernier, Samara avait été violemment frappée par un groupe d’étudiants à la sortie du collège Arthur-Rimbaud, au centre-ville de Montpellier. La jeune adolescente est tombée dans le coma après son attaque, avant de finalement en sortir.
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