La scénographie de Soissons en Lumières, qui débute le 1er mai, sera la même que celle des deux premières éditions. – .

La scénographie de Soissons en Lumières, qui débute le 1er mai, sera la même que celle des deux premières éditions. – .
La scénographie de Soissons en Lumières, qui débute le 1er mai, sera la même que celle des deux premières éditions. – .

Ne changez jamais une équipe gagnante. Le soir de la Fête du Travail, les Soissonnais pourront se rendre à l’Abbaye Saint-Léger, à l’Hôtel de Ville, à l’église Saint-Pierre, à la Cité de la musique et de la danse et au pavillon de l’Arquebuse pour profiter du troisième édition de Soissons en Lumières. Mais il est important de souligner qu’il n’y aura pas de grands changements par rapport à 2023 avec les mêmes cinq monuments et la même histoire. ” La scénographie avec le peintre, le graffeur, le photographe, le brodeur et le constructeur, sera une nouvelle fois mise à l’honneur. », précise Jean-Baptiste Hardoin, directeur créatif chez Moment Factory et responsable de l’expérience Soissons en Lumières.

Cinq métiers mis en valeur pour cinq monuments

Pour revenir aux débuts et au lancement de Soissons en Lumières, le directeur créatif a eu une idée bien précise. ” Nous ne voulions pas seulement raconter l’histoire de Soissons, de manière académique. Nous avons donc pris cinq personnages avec des caractéristiques, liées au monde de l’art et à différentes époques. “, il dit. Le but n’était pas de reprendre de grands noms de l’histoire de la commune, mais d’y placer certaines références. ” Cela reste une fiction. Mais nous nous sommes quand même inspirés de certains personnages emblématiques, même si tout cela reste fictionnel. », poursuit Jean-Baptiste Hardoin. Dans ce mélange de spectacle son et lumière avec la volonté de proposer une expérience immersive, le créateur s’est appuyé sur les connaissances des locaux. ” Nous avons beaucoup travaillé avec les équipes de la ville et la société historique de Soissons. Il était essentiel de raconter le patrimoine avec une série d’histoires “, il continue.

« Nous ne voulions pas seulement raconter l’histoire de Soissons, de manière académique. Nous avons donc pris cinq personnages avec des caractéristiques, liées au monde de l’art et à différentes époques. »

Jean-Baptiste Hardoin

La seule petite différence notable par rapport aux autres éditions est technique. “ Le son ne sera plus diffusé via l’application. L’histoire sera racontée avec des haut-parleurs placés près des monuments », exprime le directeur créatif. En effet, cet ajout avait quelque peu entaché le plaisir de certains spectateurs lors de la précédente édition. “ La demande n’a pas été respectée. Peut-être par méconnaissance du smartphone. Certains ont perdu le fil conducteur de l’émission », précise l’adjoint à la culture et au patrimoine, François Hanse.

Et pour les prochaines éditions ? La ville de Soissons et Jean-Baptiste Hardoin s’interrogent. ” Ce projet a été écrit pendant plusieurs années. Pour 2024, nous restons sur cinq localités et pour 2025 nous ne le savons pas encore. C’est à la discrétion de la ville. », conclut le directeur créatif de Moment Factory. En effet, l’ajout de la cathédrale de Soissons et de l’abbaye de Saint-Jean-des-Vignes est en cours, mais tout cela reste encore hypothétique. Pour l’instant, la municipalité se concentre sur l’édition 2024, avec l’espoir de dépasser la barre des 158 000 spectateurs en 2023.

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