Cherbourg. La Ville investit 5 000 € pour que les élèves de cette école puissent préparer un livre de contes

Cherbourg. La Ville investit 5 000 € pour que les élèves de cette école puissent préparer un livre de contes
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Par Éditorial La Presse de la Manche
Publié le

25 avril 24 à 16h43

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En tant que membre de coopération décentralisée entre Cherbourg-en-Cotentin (Manche) et Coubalan, au Sénégal, la plasticienne Sophie Bazin crée un conte en diola et en français avec les élèves de Djiguinoum et ceux de l’école primaire du Hameau Baquesne.

C’est en présence de Valérie Isoird, adjoint aux relations internationales, et Dominique Hébert, adjoint chargé de l’éducation, que les enseignants de l’école du Hameau Baquesne ont présenté la coopération entre cette école et celle de Djiguinoum située dans la commune de Coubalan, au Sénégal.

La Ville de Cherbourg participe au projet à hauteur de 5 000 €

«Nous avons renouvelé cette année le même projet que celui créé l’année dernière avec les élèves de l’école Jean-Goubert », indique Valérie Isoird. Et c’est dans le cadre de métiers entre les deux villes que la construction de ce conte se concrétise.

Sophie Bazin, artiste plasticienne, s’est récemment rendue au Sénégal pour échanger avec une quarantaine d’enfants de l’école africaine et est en train de finaliser le récit d’un histoire pour enfants avec des élèves cherbourgeois, issus de deux classes de CM1 et CM2, représentant également une quarantaine d’élèves.

Un conte qui combine un humain, UN Lièvre, UN python, un panthère, et qui, bien entendu, se terminera par un morale…

Ce conte fera l’objet de la réalisation d’un livre papier, qui sera remis en fin d’année scolaire à chacun des enfants ayant participé à l’aventure.

Estelle Tollemer, chargée du développement international de la Ville de Cherbourg

” C’est un projet pédagogique qui permet aux enfants de s’ouvrir au monde et faire travailler sur leur imagination, poursuit Valérie Isoird. Nous espérons que très bientôt les enfants pourront communiquer par visioconférence.

De notre correspondant Jean-Christophe BEAUCHÉ

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