Cette finale de Ligue Nationale est plus disputée que jamais. Après quatre matches, les deux équipes ont chacune remporté leurs matchs à domicile, mais Lausanne parvient à faire douter Zurich.
Le doute, le pire ennemi des sportifs. Et à Zurich, on a un petit doute. Car après avoir atteint la finale en huit matches, il semblait logique pour les Lions d’Altstetten de se sentir en confiance face à une équipe qui a disputé quatre matchs supplémentaires et notamment un match en trois prolongations contre Fribourg en demi-finale. .
Pression
Il y a le discours officiel et puis il y a le discours dans les vestiaires. Si devant les micros les Zurichois minimisent la pression sur leurs épaules, il est évident que pour eux et lors de chaque saison, le titre est le seul objectif. Alors qu’à Lausanne, tout ce qui se passe maintenant n’est que du bonus. Ce n’est que contre Davos, alors qu’ils étaient menés 3-2, qu’ils ont ressenti et surmonté cette pression en finissant par s’imposer 4-3 dans la série.
Ce soir, celui qui perdra affrontera un potentiel adversaire pour le titre samedi à Malley lors de l’acte VI. Une situation bien plus difficile pour les joueurs de Marc Crawford que pour ceux de Geoff Ward. «Il n’y a aucune pression», assène l’entraîneur du LHC de l’Ontario. « La pression, vous la mettez vous-même. En général, vous ressentez de la pression lorsque vous n’êtes pas préparé. Si vous êtes bien préparé et confiant dans votre jeu, vous ne ressentez pas trop de pression. Nous devons jouer notre jeu sur la glace. Le groupe a suffisamment d’expérience car nous avons vécu tous les scénarios jusqu’à présent. expérience que nous nous reposerons pour l’avenir.
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