« Morts parce que certains n’étaient pas assez concentrés »

« Morts parce que certains n’étaient pas assez concentrés »
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Boris Busslinger


correspondant en Suisse alémanique

Publié le 24 avril 2024 à 19h42 / Modifié le 24 avril 2024 à 19h43

Bremgarten, 9h mardi matin. Un coup de feu part. Justin M. est touché à la tête. Il est décédé à l’hôpital quelques heures plus tard. Ce qui s’est passé? « L’enquête est en cours », répète simplement l’armée. Tout au plus sait-on que le tir est venu d’un véhicule militaire, que le militaire « suivait une séance d’instruction » et qu’il en était à sa 15e semaine – les écoles de recrues en ont généralement entre 18 et 21. Un terrible accident, sachant qu’après plus de cent jours à arpenter le bitume des casernes grillagées, les règles de maniement des armes sont généralement imprimées de manière indélébile sur la tête des soldats. Sans pour autant éviter des drames occasionnels.

“Toutes les armes sont toujours considérées comme chargées”

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