La fédération départementale de pêche, qui gère 25 AAPPMA (association agréée pour la pêche et la protection des milieux aquatiques), est composée de quinze élus bénévoles, sept salariés, deux stagiaires, un apprenti, un CDD et compte 20 000 adhérents. Elle est chargée de mettre en œuvre, sous la supervision du préfet, une politique de gestion et de protection des milieux aquatiques.
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La fédération définit, coordonne et contrôle les actions des associations de pêcheurs adhérentes autour de deux axes : la protection des milieux aquatiques (sensibilisation, représentation dans les organisations départementales, régionales et nationales ainsi que le suivi de la pisciculture) et la pêche comme activité de loisir (mis en avant itinéraires de pêche, pêche amateur développée, actions de promotion et collecte des cotisations AAPPMA).
Les projets associatifs appelés plans de gestion halieutique (PGP) sont la déclinaison locale des documents-cadres PDPG (Plan départemental de protection des milieux aquatiques et de gestion des ressources halieutiques) et du SDDLP (Plan départemental de développement de la pêche de loisir). Ils doivent être existants et mis en œuvre pour chaque association. Pour ce faire, la fédération apporte aide et soutien.
163 sorties de contrôle des exercices de pêche
Le pôle milieux aquatiques, c’est 4 780 m2 de zones humides en cours de restauration, représentant 129 200 € d’investissements, 34 stations inventoriées par la pêche électrique, 46 de surveillance des écrevisses (invasives) et deux tonnes de poissons sauvées par la pêche électrique.
Le centre contentieux, c’est 163 sorties de contrôle de pêche, dont 50 de nuit ainsi que 2 035 personnes contrôlées, 9 nouveaux gardes-pêche formés et un engagement accru en faveur de la défense de l’environnement.
Le service développement compte 397 publications sur les réseaux sociaux, 8 538 abonnés. 129 312 emails ont été envoyés, 15 500 guides imprimés et distribués, 20 activités de pêche et de découverte de la nature et 207 personnes encadrées.
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