dans le Doubs, la piste du mystérieux pèlerin se ferme

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« Les deux profils ADN ne correspondent pas »

« Je vous informe que les analyses réalisées ont permis d’extraire de l’ADN. Celui-ci a été comparé à celui de Xavier Dupont de Ligonnès, indique le procureur de la République de Nantes, Renaud Gaudel dans un communiqué. Les deux profils ADN ne correspondent pas. Le juge d’instruction et les services d’enquête saisis poursuivent leurs investigations et les vérifications fastidieuses mais minutieuses de tous les rapports reçus. »

Mi-mars, des gendarmes de la brigade de recherche de Besançon se sont rendus aux deux adresses où cet homme surnommé « Jean » a passé la nuit, les 9 et 10 mars. Ils ont réussi à récupérer des gobelets et des canettes et à prélever de l’ADN. Afin d’accélérer le processus, ces objets ont été transmis à l’Institut de Recherches Criminelles de la Gendarmerie Nationale (IRCGN). Ces mêmes techniciens qui ont réussi à analyser les ossements découverts dans le Haut-Vernet il y a 15 jours et à déterminer qu’il s’agissait bien du petit Émile, disparu en juillet dernier. Cette fois dans le Doubs, le résultat s’est révélé négatif.

Encore une autre piste se ferme

Après la découverte d’ossements dans le Var en avril 2015, la perquisition dans un monastère de Roquebrune-sur-Argens en 2018, l’arrestation à Glasgow et l’erreur d’identification en 2019, c’est une nouvelle piste qui se dessine. se ferme. L’homme soupçonné d’avoir tué sa femme et ses quatre enfants entre le 3 et le 6 avril 2011 reste à ce jour introuvable. La dernière trace avérée du fugitif remonte au 15 avril 2011. Ce jour-là, il avait quitté la Formule 1 de Roquebrune-sur-Argens à pied, un sac sur le dos, laissant sa voiture sur le parking de l’hôtel. . A-t-il fini sa vie dans le Var ? Vous avez trouvé une cachette quelque part en Europe ? Recommencer sa vie à l’autre bout du monde ? Autant de questions qui restent à ce jour sans réponse.

#Français

 
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