Un Périgord de 26 ans condamné à six mois de prison ferme pour harcèlement sur son ex-compagne

Un Périgord de 26 ans condamné à six mois de prison ferme pour harcèlement sur son ex-compagne
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Le tribunal de Bergerac ce lundi 15 avril, un Périgord de 26 ans a été condamné à emprisonné pour harcèlement de son ex-petite amie. Depuis leur rupture, la jeune femme a reçu des milliers de messages, dont des photos du sexe du Périgord. A l’audience, le jeune Bergeracois a admis les faitsnotamment en lui ouvrant la porte nue à plusieurs reprises, pendant qu’elle emmenait leur fille, âgée de quelques mois, chez lui pour son quart de travail.

Épaules et tête baissées, le jeune homme s’exprime d’une petite voix qui contraste avec son physique musclé d’ancien athlète de combat. Il s’excuse”Je ne me suis pas contrôlé, je regrette, j’espère qu’elle va se reconstruire.» Il explique avoir été envahi par une jalousie excessive. Il a été condamné à deux ans de prison, dont six mois de prisonce qu’il peut faire à la maison sous bracelet électronique, pour ces actes de harcèlement. Un harcèlement d’une telle ampleur qu’un médecin a prescrit 10 jours d’incapacité totale de travail à la jeune femme.

Une jeune femme sous influence

La victime est présente à l’audience, avec sa famille. Elle est paralysé, incapable de parler. Son avocat dit qu’elle est «terrifié“, et qu’elle mettra il est temps de reconstruire. Avant leur séparation, elle vivait sous l’emprise de cet homme, ne pouvant plus s’habiller comme elle le souhaitait. Il la suivait partout, y compris lorsqu’elle faisait des courses avec sa mère, ou s’il ne pouvait pas se déplacer, lui envoyait des messages pour savoir où elle était, ce qu’elle faisait, en permanence. Si elle refusait d’avoir des relations sexuelles avec lui, il pourrait piquer une crise.

La difficulté de se reconstruire

Au micro de France Bleu Périgord, la jeune femme de 21 ans témoigne : «Jusqu’à récemment, faire du shopping était compliqué. Je ne savais pas comment me tenir, marcher, comment se pencher pour récupérer mes courses. j’avais l’impression que tout ce que j’ai fait était sexualiséque j’étais un objet, que tous les hommes voulaient me faire du mal«À tel point qu’elle était rongée par l’anxiété;»J’avais peur d’être poursuivi« .

peine prononcé par le juge est plus lourd que les réquisitions du procureur, qui avait requis deux ans de prison avec sursis. Il est interdit au Périgord d’entrer en contact avec la victime, et de se présenter dans la commune où elle habite.

 
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