Le nouveau modèle de la loi Renault ne verra pas le jour

Le ministre fédéral de l’Emploi, Pierre-Yves Dermagne (PS), avait déposé un texte pour réviser la loi sur les licenciements collectifs. Cela impliquait de prendre en compte les enseignements tirés des récentes fermetures ou restructurations d’entreprises, afin d’adapter le cadre juridique. Les partenaires sociaux ont estimé que sur de nombreux points, il était préférable d’adapter les conventions collectives existantes.


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Journaliste au département Economie

Par Pascal Lorent

Publié le 02/04/2024 à 06h00
Temps de lecture : 5 minutes

CONTRECe devait être la réponse la plus « politique » au conflit social chez Delhaize. Et la mise à jour d’une procédure vieille de 26 ans. Malheureusement pour le ministre fédéral de l’Emploi, Pierre-Yves Dermagne (PS), son projet de loi révisant la loi Renault sur les licenciements collectifs n’aboutira pas. L’avant-projet présenté aux députés en juin dernier a été soumis au Conseil national du travail. Et la réponse commune du patronat et des syndicats ne laisse aucun espoir d’adoption du texte sous cette législature.



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