Invitée sur le plateau de “Quelle époque”, samedi 4 janvier 2025, Angélique Angarni-Filopon, élue Miss France 2025, a répondu aux nombreuses critiques qu’elle reçoit sur son physique, sa coupe de cheveux, son âge ou encore sa couleur de cheveux. peau. “C’est un peu lâche”, a-t-elle glissé.
C’est le lot de nombreuses Miss France. Depuis qu’elle a été élue Miss France 2025, Angélique Angarni-Filopon, qui représentait la Martinique lors du concours de beauté, est la cible de nombreuses critiques sur son physique, sur sa coupe de cheveux, sur son âge – à 34 ans, elle est la Miss France la plus âgée –. et même sa couleur de peau, à tel point que le Comité Miss France a été obligé de réagir. Des critiques qu’elle voit passer sur ses réseaux sociaux, comme elle l’a confié sur le plateau de “Quelle époque”, samedi 4 janvier 2025.
“Je lis malheureusement parce que je veux bloquer, je ne veux plus que ces gens aient accès à mon compte direct”, explique Angélique Angarni-Filopon, avant de regretter : “Malheureusement, ce que les gens ne réalisent pas, c’est que derrière moi, je j’ai une famille et j’ai des neveux qui tombent sur les commentaires. Moi, je m’armure, aux Antilles, on dit : « Mon cœur est blindé », mais mes neveux ne le sont pas forcément. » L’aîné de ses neveux n’a que 13 ans, et « il voit tout ça ».
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Angélique Angarni-Filopon : “Les Miss coûtent cher”
«Je trouve triste de trouver autant de réconfort en disant à quelqu’un que vous ne l’aimez pas. Et le temps aussi. Je ne dirais jamais à quelqu’un dans la rue : « Je n’aime pas ton chapeau ». Parce que je m’en fiche», a ajouté Angélique Angarni-Filopon, qui peut compter sur le soutien des autres Miss. «Ils ne le feront jamais dans la rue, c’est ça l’intérêt des réseaux sociaux», a déclaré Baptiste Lecaplain, également invité de l’émission. Et Miss France se désole : « Exactement. Et c’est un peu lâche, ce qui est dommage. » Non pas qu’elle préférerait se faire harceler dans la rue aussi, mais tout simplement ne pas se faire harceler, tout simplement. “Les Miss coûtent cher”, a conclu Angélique Angarni-Filopon, en référence notamment au harcèlement subi par sa prédécesseure, Eve Gilles. Pour rappel, le harcèlement et le cyberharcèlement sont punis par la loi.