Valérie de Graffenried
Bruxelles
Publié le 14 juin 2024 à 07h38. / Modifié le 14 juin 2024 à 07h39.
Le Rassemblement national en France, Fratelli d’Italia en Italie, le FPÖ en Autriche et l’AfD en Allemagne : le succès de ces partis aux élections européennes alimente les discussions. Mais dans d’autres pays, les groupes de droite radicale ont obtenu des résultats moins bons que ne le prédisaient les sondages. C’est notamment le cas au Portugal, en Suède, en Finlande et, dans une certaine mesure, en Hongrie. Des résultats qui méritent également qu’on s’y attarde.
Au Parlement européen, deux groupes abritent des formations de droite radicale et nationalistes : celui des Conservateurs et Réformistes européens (CRE), qui rassemble à ce stade 73 élus (+4), et Identité et Démocratie (ID), avec 58 places (+ 9). Mais une centaine de sièges, entre les « non inscrits » et les nouveaux partis, sont toujours sans étiquette et font l’objet d’intenses négociations ces jours-ci.
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