Après la démission de Haliva, celles du chef d’état-major et du chef du Shin Bet en question

Après la démission de Haliva, celles du chef d’état-major et du chef du Shin Bet en question
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Après la démission, révélée par Ynet, du chef du renseignement militaire Aharon Haliva (qui n’entre pas en vigueur immédiatement), une série d’autres responsables de la débâcle du 7 octobre pourraient suivre. Notamment le chef d’état-major Aviv Kohavi et le chef du Shin Bet Ronen Bar, aux côtés des généraux impliqués dans l’échec comme les chefs des opérations, le commandement sud et le coordinateur des activités dans les territoires.

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Le ministre israélien de la Défense Benny Gantz (au centre) lors d’une réunion avec le chef d’état-major de l’armée Aviv Kochavi (à gauche) et le chef du Shin Bet Ronen Bar dans le sud d’Israël, le 24 avril 2022.Elad Malka/Ministère israélien de la Défense

Mais la démission de Kohavi et de Bar pourrait alors braquer les projecteurs sur le premier ministre Netanyahu et le ministre de la Défense Gallant, qui sont également tenus pour responsables des immenses échecs qui ont conduit aux massacres du 7 octobre, et donc à de nouvelles élections, estiment de nombreux analystes.

Haliva, maillon clé des échecs israéliens du 7 octobre, avait « mal interprété » les intentions du Hamas pendant des mois, voire des années malgré de nombreux avertissements et avait partagé ces fausses appréciations avec toute la hiérarchie du renseignement militaire, l’État-major, le Shin Bet et le coordinateur. Seul le Mossad avait mis en doute ces évaluations.

Une semaine et demie après le début du conflit, Haliva a reconnu l’échec de l’attaque surprise : « En tant que chef du renseignement militaire, j’assume l’entière responsabilité de cet échec. » La nuit fatidique entre vendredi et samedi, Haliva, alors en vacances à Eilat avec sa famille.

 
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