Brives-Charensac. Loir’en Zic, un festival qui cartonne toujours

Brives-Charensac. Loir’en Zic, un festival qui cartonne toujours
Brives-Charensac. Loir’en Zic, un festival qui cartonne toujours

Cette 8ème édition du festival de Brivois a connu le même succès que les deux précédentes. Le samedi soir, avec le phénomène Vieilles Valises, Freaky Fucking Funk et Tagada Jones, affichait complet.

Sachant que la billetterie a été lancée en décembre, et que l’annonce du retour des Vielles Valises a fait l’effet d’une bombe. Il restait quelques places à vendre pour l’événement du vendredi avec Ryon, La Ruda et Asian dub Foundation, et elles étaient toutes vendues.

Un festival qui coche toutes les cases

Ainsi, environ 2 000 spectateurs se sont rendus au festival sur les deux jours, auxquels s’ajoutent tous ceux qui sont passés au village l’après-midi et le soir. Après les années Covid, l’événement revient en force

Il y a plusieurs explications à ce sujet. D’abord le charme de ce village qui s’illumine à la tombée de la nuit et devient propice à la fête, aux rencontres, à la dégustation de bonnes choses, aux petits spectacles.

Ensuite, une programmation avec des groupes, certes pas forcément « vus à la télé » mais qui ont leurs supporters, comme cette année les Londoniens de la Asian dub Foundation qui ont 30 ans de tournée.

Un camping pour s’installer situé à deux pas

Mais aussi Tagada Jones qui a sorti son 10ème album en 2020 et remplit actuellement de grandes salles. « Ce sont des groupes connus nationalement, voire internationalement, explique Maxime Liotier, membre de l’instance collégiale du festival. Sans oublier les artistes locaux qui attirent aussi du monde.

Quant au prix, 28 euros la soirée, il est plutôt attractif. Enfin, la possibilité de séjourner au camping situé à deux pas est un vrai plus. Tout cela avec un soutien important de la mairie qui, forcément, élargit le champ des possibles.

Une première édition il y a (déjà) 9 ans

Ainsi, depuis sa première édition en 2015 qui avait enregistré 1 300 entrées payantes, le festival imaginé par Laurent Dufaud, ancien adjoint au maire, a pris de l’ampleur avant d’être annulé à trois reprises durant les années Covid.

2022 a été l’année d’une rentrée réussie, « la meilleure édition » selon les observateurs. Bref, que du positif, malgré la pluie qui a plu abondamment sur cette rencontre les années passées, mais qui l’a épargnée lors des deux dernières journées.

 
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