Saison 3, épisode 5 | Juste entre vous et moi avec Hubert Lenoir

Saison 3, épisode 5 | Juste entre vous et moi avec Hubert Lenoir
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Hubert Lenoir n’aime pas les réseaux sociaux, n’aime pas se faire prendre en photo, n’aime pas trop accorder des interviews, mais a fait aujourd’hui une exception, en nous accueillant dans ce petit appartement qui lui sert de studio, quelque part dans le quartier Saint -Quartier Roch de Québec, non loin de la maison où il habite avec son amante et gérante, Noémie.

Épisode 5 : Hubert Lenoir

Hubert Lenoir nous ouvre les portes de son petit studio québécois, pour une rare entrevue sur les raisons pour lesquelles il s’est éloigné de la vie publique, et l’impact des commentaires négatifs dont il a fait l’objet. et son amour inépuisable pour la musique.

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PHOTO EDOUARD PLANTE-FRÉCHETTE, LA PRESSE

Hubert Lenoir avec l’animateur du podcast Juste entre toi et moiDominique Tardif

Trois citations de notre entretien

Sur sa flamboyance scénique

« Je jouais dans la rue, sur la rue Saint-Jean, et j’étais dans une période de ma vie où j’avais de la difficulté à payer mon loyer. J’avais besoin de gagner de l’argent. Pour que le monde jette deux piastres, il fallait vraiment que je donne un spectacle. C’est donc comme si j’avais été poussé à l’eau, parce que j’étais très gêné par nature. J’avais besoin de développer ce côté performant, artiste. »

À propos de sa rencontre avec Philippe Katherine

«Nous nous sommes rencontrés lors d’une émission à laquelle Radio France m’avait invité, un hommage à Françoise Hardy à la Maison de la radio. Philippe, je ne le connaissais pas, mais je savais qu’il avait déjà dit du bien de moi. Je l’ai vu entrer et au début il ne m’a pas parlé, puis il m’a serré la main et m’a dit « Condoléances à tous ceux qui sont comme moi ». [phrase tirée de sa chanson Secret]. Puis il s’arrêta de parler. Je l’ai trouvé très iconique comme un instant. »

À propos de son caractère québécois

« J’ai toujours été fier d’être un artiste québécois, mais il faut vraiment aller ailleurs, travailler avec d’autres personnes, comprendre à quel point on est ce qu’on est, à quel point on ne peut échapper à qui on est. Quand je vais en France, je m’oblige à avoir deux fois plus d’accent, histoire d’affirmer qui je suis. »

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