Le programme a débuté par une présentation du DCO Model Startup Act, un cadre juridique innovant qui vise à renforcer l’écosystème des startups tout en intégrant les principes de durabilité et de responsabilité sociale. “Cet événement, en partenariat avec le ministère de la Transition numérique et de la Réforme de l’administration, vise à soutenir les startups et à renforcer l’écosystème entrepreneurial au Maroc, en termes d’investissement et de réglementation, notamment la loi sur la politique des startups”, a déclaré Hajar El Hadaoui, secrétaire adjointe. Général du DCO.
Driss Lemjaouri, directeur des systèmes et de l’entrepreneuriat numérique, a souligné que « l’objectif de l’Organisation de coopération numérique (DCO) est de partager des expériences réussies, de créer des marchés numériques communs et d’échanger des expériences à travers les politiques publiques qui cherchent à réguler les écosystèmes numériques dans les pays membres. L’un des avantages de la participation active du Maroc à cette initiative est de permettre aux startups marocaines de s’intégrer sur ces marchés majeurs.
Les échanges de la journée ont mis en lumière les défis auxquels est confronté l’écosystème des startups au Maroc, notamment l’accès au financement, la régulation du marché et la mise en place de structures d’accompagnement adaptées. Les experts ont souligné l’importance de créer un cadre législatif flexible, tout en permettant une réglementation efficace du secteur pour promouvoir l’innovation et encourager les investissements.
Cet événement a mis en lumière les actions entreprises par le gouvernement, la DCO, pour améliorer l’infrastructure numérique du pays et renforcer les opportunités pour les jeunes entreprises. Le Startup Policy Act a été présenté comme un levier essentiel pour atteindre ces objectifs.
L’Organisation de coopération numérique (DCO) est une organisation intergouvernementale mondiale dédiée à accélérer la croissance inclusive et durable de l’économie numérique. Le DCO rassemble les ministères des Communications et des Technologies de l’information de 16 États membres : Bahreïn, Bangladesh, Chypre, Djibouti, Gambie, Ghana, Grèce, Jordanie, Koweït, Maroc, Nigeria, Oman, Pakistan, Qatar, Arabie Saoudite et Rwanda.
