Présidente de l’association Artem, Élisabeth Mounic pratique la peinture et l’encre contemporaines. Cet artiste, lauréat des Palmes académiques de Tarbes en 2012, a invité les curieux « sur le chemin d’un dialogue entre le visible et l’invisible, l’espace et le temps ». Sa technique consiste à utiliser la peinture à l’huile et l’encre de Chine « dans une quête sans fin et en constante évolution, à la recherche de l’émotion esthétique ». Formée à l’Ecole des Arts de Tarbes, elle expose en France, en Espagne et au Maroc.
Passions et émotions
Après le tableau d’Élisabeth Mounic, place à la cristallisation de Marie-Pierre Majourau pour qui « l’eau est un élément déterminant ». En 2010, elle rejoint le collectif national des verriers Dare d’Art et participe à diverses expositions collectives. « Le verre chauffé à haute température est un liquide qui refroidit lentement. Il se fige, devient rides, états, bouillonnements ou cristallisations. Je développe des pièces que j’aime et qui j’espère susciter des émotions. J’aime le contraste mat, brillant et transparent.
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Autodidacte, Marité Redin travaille la terre depuis 35 ans. « J’ai touché la terre très jeune. J’étais fasciné par la main qui transforme la matière pour façonner l’œuvre, et par le feu qui laisse sa marque et détermine sa coloration. Son travail est devenu « source de bien-être et d’expression » et résulte également d’une collaboration avec sa sœur pour la recherche de techniques, l’expérimentation et la réflexion.
Le bref aperçu des œuvres exposées a été un moment privilégié durant lequel les artistes ont partagé leurs passions avec les personnes présentes.
