Le 8 janvier, Brigitte Macron était invitée au JT de 13 heures de TF1 pour le lancement de la 36e opération Pièces Jaunes. Interrogée sur la dissolution de l’Assemblée nationale, elle n’a pas hésité à exprimer son agacement face aux fausses informations qui circulent dans la presse.
Des phrases qu’elle ne supporte plus. A l’occasion du lancement de la 36e opération Pièces Jaunes, visant à récolter des dons pour améliorer la vie des jeunes patients hospitalisés, Brigitte Macron et son acolyte Didier Deschamps ont été conviés sur le plateau du journal télévisé de 13 heures de TF1 le 8 janvier. Si Marie-Sophie Lacarrau a interrogé la Première dame sur cette nouvelle édition, elle n’a pas non plus manqué d’évoquer la dissolution de l’Assemblée nationale décidée par Emmanuel Macron en juin dernier. “Ce n’est pas à moi de dire ce que je pense, elle a répondu au journaliste. Je ne l’ai jamais dit et je ne le ferai jamais. Elle considérait toujours «que c’est l’Histoire qui dira en fin de compte si cela doit être fait ou non».
Toutefois, si elle refuse toujours de commenter les actes et décisions de son mari, Brigitte Macron semble agacée par les fausses informations qui circulent dans la presse et qui prétend savoir ce qu’elle pense. “Certains journaux m’attribuent des phrases que je ne prononce pas. Je n’ai jamais dit à personne ce que j’en pensais. a-t-elle souligné sur le plateau de TF1, quelque peu agacée. Avant d’ajouter : « Lorsque vous avez une citation entre guillemets avec à côté ‘un proche’, rappelez-vous qu’en règle générale, les proches ne parlent pas. D’ailleurs, j’aimerais avoir le droit de répondre à ces phrases. C’est clair.
Rétro 2024 – Brigitte Macron : JO de Paris, Réouverture de Notre Dame… Son année mouvementée en images
Brigitte Macron : ces propos démentis qui lui sont attribués
Suite à la dissolution de l’Assemblée nationale, puis à la motion de censure contre le gouvernement de Michel Barnier, et à la nomination de François Bayrou au poste de Premier ministre, Le monde rapportait en décembre dernier qu’Emmanuel Macron était «l’un des présidents les plus impopulaires de la Ve République depuis Chirac et les grandes grèves de 1995». Le journal notait également que depuis la dissolution, le Président de la République était «insaisissable», «imprévisible” et “dangereux» selon plusieurs sondages et enquêtes qualitatives. Vivant très mal la situation, le chef de l’Etat s’isole de plus en plus. Ce qui inquiéterait son secrétaire général Alexis Kohler et son épouse Brigitte Macron. Ce dernier se serait d’ailleurs confié selon plusieurs proches : «Il n’écoute plus personne.» Des propos qui ont finalement été démentis par l’entourage de la Première dame à Gala.fr. Il s’agit de “Citations non vérifiées de Madame Macron”» déplorait-on autour de Brigitte Macron.