Interrogé par nos confrères de Étoile de télévisionLaurens a évoqué ce retour en fanfare dans l’aventure de N’oubliez pas les paroles. Lors de sa réapparition sur le plateau du Masters, Laurens a confié qu’il était très heureux de retrouver un décor qu’il connaît si bien. “Ce fut une grande joie pour moi de revoir tout le monde.», explique-t-il. En affrontant les plus gros candidats de l’émission, il savoure chaque victoire, mais préfère rester modeste face à ses exploits, assurant de ne pas se prendre la grosse tête. “C’est juste un jeu (…) C’est pas l’exploit du siècle», ajoute-t-il. Lors des quarts de finale, il bat Manon (n°5) et se qualifie pour la demi-finale, où il affrontera Étienne (n°17). Un match dont il ne fait pas peu de fierté : «Faire partie des 4 restants sur 32 me fait très plaisir !“
Laurent (N’oubliez pas les paroles) explique ce qu’il a fait avec ses gains
L’année dernière, le Maestro avait accumulé la coquette somme de 457 000. Mais alors, où est passé cet argent ? Avec ses gains, Laurens a des projets bien précis : «Je les garde pour investir dans un futur projet immobilier. En attendant, je m’amuse. Je me suis acheté une paire de skis et je m’offre des produits un peu plus haut de gamme qu’avant», confie-t-il. Il faudra attendre encore un peu avant que le candidat ne commence sérieusement à dilapider le contenu de sa cagnotte.
N’oubliez pas les paroles : que devient Laurens, le deuxième plus grand Maestro du jeu présenté par Nagui ?
Depuis sa participation remarquée l’année dernière, la vie de Laurens semble inchangée. En dehors de la musique et du théâtre, il poursuit sa carrière universitaire. Actuellement en deuxième année de doctorat en mathématiques, il est également enseignant, donnant des cours de Travaux Dirigés aux étudiants. Le maestro se décrit comme passionné par son domaine : «Je fais des recherches et j’ai un salaire.« Quant à ses loisirs, Laurens est un passionné de sport : »J’aime le sport. Je suis l’équipe de France de rugby et le Stade Toulousain. Je fais du tennis, du biathlon et, l’hiver, je passe parfois une journée dans les Pyrénées pour skier.», admet-il.