Le dirigeant nord-coréen Kim Jong-un a déclaré qu’il pourrait recourir au feu nucléaire si son pays était menacé, menaçant ainsi la Corée du Sud.
Tensions avec la Corée du Sud
Mardi 1er octobre, La Corée du Sud a célébré la Journée des forces armées, mettant en valeur l’arsenal du pays. Le président Yoon Suk Yeol en a profité pour adresser un essai à son homologue nord-coréen soulignant que si ce dernier utilisait l’arme nucléaire, cela sonnerait la « fin de son règne ».
Officiellement, les deux pays sont toujours en guerre depuis le 9 septembre 1948, puisqu’aucun traité de paix n’a été signé malgré un cessez-le-feu. La relation avec la Corée du Nord. La visite de Donald Trump dans la dictature a conduit à la détente entre les deux ÉtatsToutefois, après la fin du mandat du 45e président des États-Unis, les tensions sont à nouveau palpables.
Kim Jong-un : Rocketman
Face à la déclaration de Yoon Suk Yeol, le dictateur nord-coréen a rappelé que son voisin du sud ne possédait pas d’armes nucléaires. En effet, le pays entretient une alliance militaire avec les États-Unis, mais la Corée du Sud n’est pas une puissance nucléaire, ne disposant pas d’ogives nucléaires.
Ainsi, Kim Jong-un a fait savoir qu’il « utiliserait sans hésitation tous les moyens offensifs, y compris les armes nucléaires » si la Corée du Sud décide d’attaquer de front la dictature. Depuis plusieurs années, le dictateur continue de procéder à des tests, violant à plusieurs reprises les espaces aériens des pays voisins comme le Japon..
A lire aussi : Plainte de l’Algérie contre Sarah Knafo : le parquet la rejette
