Claire Tabouret : « Je peins pour comprendre ce qui me hante »

Claire Tabouret : « Je peins pour comprendre ce qui me hante »
Claire Tabouret : « Je peins pour comprendre ce qui me hante »

Claire Tabouret participe à l’exposition Avec mes yeuxà la prison pour femmes de la Giudecca à l’occasion de la Biennale de Venise jusqu’au 24 novembre.
Elle est également en duo dans l’exposition Forces vives, Lee Miller & Claire Tabouret au Palais Idéal du Facteur Cheval jusqu’au 11 novembre 2024.
Son œuvre monumentale La grande pyramide est visible sur la façade du musée de Sèvres jusqu’au 22 septembre 2024.
Enfin, son travail est à retrouver dans le livre Claire Tabouret: Monograph a été publié aux éditions Perrotin.

Cet été :
Dès le 6 juillet, Claire Tabouret sera présente dans l’exposition collective Léché par les vagues au More Museum aux Pays-Bas. Elle présentera également des vases en céramique avec l’exposition L’éloquence des larmes à partir du 8 juillet au Château La Coste.

Extraits diffusés :
On diffuse les chansons « Batwanes Beek » de la diva algérienne Warda al-Jazairia et « …Baby one more time » de Britney Spears, ainsi que Pablo Picasso au micro de Robert Sadoul en 1963. On entend aussi Jean-Philippe Toussaint dans 2012 ainsi que l’extrait de la bande annonce du film Route Rouge d’Andrea Arnold (2006).

Choix musicaux des invités :
La chanson « Flow, mes larmes », de Philippe Jaroussky et Thibaut Garcia : «C’est une si belle voix. C’est une chanson sur le deuil, sur une grande tristesse. C’est à la fois la baisse et la hausse.

Découverte de l’invité :
Le test L’éloquence des larmes de Jean-Loup Charvet, qui est aussi le titre de sa prochaine exposition au Château La Coste : «C’est un livre d’une grande poésie, qui se concentre sur la déchirure dans la musique baroque. Je suis tombée sur ce livre et je trouve chaque phrase d’une grande beauté. Ce sont des pépites, des diamants. L’idée que la déchirure compense l’absence de mots m’intéresse beaucoup.
Claire Tabouret partage également le film Route Rouge d’Andrea Arnold (2006) : «C’est un film complexe, dans lequel il n’y a ni pile ni face, ni bons ni méchants. Tout se mélange, c’est un thriller très sombre, qui mêle les sujets du désir et de la sexualité avec la mort, la vengeance et le deuil. C’est un film qui m’intéresse aussi car il est filmé par une femme qui filme extrêmement bien la sexualité.

Programmation musicale :
– Christine et les reines – rentrer chez soi
– Kali Uchis – Déesse

 
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