Avant Liam Lawson, ces Néo-Zélandais qui étaient autrefois en

Avant Liam Lawson, ces Néo-Zélandais qui étaient autrefois en
Avant Liam Lawson, ces Néo-Zélandais qui étaient autrefois en F1

Pour la première fois depuis Brendon Hartley en 2018, la Nouvelle-Zélande aura un représentant sur la grille de départ du premier Grand Prix de la saison. Après avoir remplacé Daniel Ricciardo, temporairement, en 2023, et, définitivement, en 2024, le Kiwi a été confirmé comme coéquipier de Max Verstappen après avoir officialisé le départ de Sergio Pérez.

Le natif d’Hastings entretient ainsi le lien entre la Formule 1 et son pays même s’il ne compte pas beaucoup de représentants depuis le premier championnat du monde de Formule 1 depuis 1950.

Les 10 pilotes néo-zélandais de l’histoire de la

Bruce McLaren

Fondateur de l’écurie éponyme, Bruce McLaren a disputé 98 Grands Prix pour 4 victoires. Il termine vice-champion en 1960 derrière Jack Brabham avant deux 3ème places au championnat en 1962 et 1969.

Anthony Shelley

Un seul Grand Prix en carrière : Grande-Bretagne 1962.

Chris Amon

Le natif des Bulls a participé à 96 Grands Prix, signant 5 pole positions, 11 podiums mais jamais de victoire. Son meilleur résultat au championnat fut une 5ème place en 1967.

Denny Hulme

Seul champion du monde de Nouvelle-Zélande. Avec un total de 112 départs, Denny Hulme est sacré en 1967 en battant son coéquipier Jack Brabham. Au total, il a remporté 8 victoires.

James Howden Ganley

35 Grands Prix entre 1971 et 1974 sans le moindre podium. Son meilleur résultat fut 4e à deux reprises : États-Unis 1971 et Allemagne 1972.

Graham McRae, John Nicholson et Mike Thackwell

Pas les personnages les plus célèbres. Ils ont respectivement participé à 1 Grand Prix (McRae, 1973 et Nicholson, 1975) et 2 (Thackwell, 1980 et 1984).

Brendon Hartley

Avant Liam Lawson en 2023, il était le dernier Kiwi en F1. Déjà au sein de Red Bull, le vainqueur des 24 Heures du Mans avec Porsche et Toyota a terminé la saison 2017 avant de concourir toute l’année 2018 sous les couleurs de Toro Rosso.

Brendon Hartley © Francois Flamand / DPPI

LIRE AUSSI > Comment Lawson a construit sa carrière jusqu’à sa promotion chez Red Bull

 
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