les années sombres de l’Occupation comme vous ne les avez jamais vues – Actualités Cinéma – .

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les années sombres de l’Occupation comme vous ne les avez jamais vues – Actualités Cinéma – .

Chaque jour, AlloCiné vous recommande un film à (re)voir à la télé. Ce soir : les débuts de Sandrine Kiberlain derrière la caméra avec un portrait émouvant de la jeunesse sous l’Occupation.

Irène, jeune fille juive, vit l’élan de ses 19 ans à Paris, l’été 1942. Sa famille la regarde découvrir le monde, ses amitiés, son nouvel amour, sa passion pour le théâtre… Irène veut devenir comédienne et son les jours se poursuivent dans l’insouciance de sa jeunesse.

Ce pitch est celui d’Une jeune fille qui va bien, première production de Sandrine Kiberlain. Sorti en salles en 2022, ce film, présenté en Séance Spéciale à la Semaine de la Critique du Festival de Cannes, est un portrait émouvant de la jeunesse sous l’Occupation, un magnifique hymne à la vie qu’on n’oubliera pas de sitôt.

Délicat, juste et intelligent, Une jeune fille qui va bien est un film à la fois fort et fragile, aussi sombre que lumineux, qui procure des émotions incroyables. Un ouvrage qui montre que Sandrine Kiberlain est aussi exigeant devant que derrière la caméra et qui révèle une formidable actrice en la personne de Rebecca Marder.

« Avec ce projet, j’ai pu raconter l’histoire d’une jeune fille et d’une époque de manière très personnelle »déclare Sandrine Kiberlainqui réalise son premier long métrage. « Et le moyen de raconter une telle histoire ne pouvait être que le cinéma, mon art préféré de tous. Je n’aurais pas commencé si je ne m’étais pas senti « capable » d’être à cette place. (. ..) Quand j’ai une histoire qui me tient à cœur, quand j’ai une « vision » de cette histoire, alors je me permets de la mettre en scène et j’utilise les moyens du cinéma pour la raconter.

« Ce qui leur arrive pourrait arriver demain ou dans cinquante ans »

Une jeune fille qui va biendont l’histoire se déroule en pleine Occupation, est une fiction mais comporte aussi des éléments autobiographiques. “J’ai fait d’Irène une jeune fille qui veut devenir comédienne, j’ai fantasmé sur le quotidien de mes grands-parents en 1942, celui de mes parents qui voulaient aussi devenir comédiens, tous juifs, tout ça mélangés”révèle Sandrine Kiberlain, qui voulait “montrer que cette famille est composée de gens comme tout le monde, que ce qui leur arrive pourrait arriver demain ou dans cinquante ans.”

Ce soir sur France 3 à 21h10

Coup de foudre entre la réalisatrice Sandrine Kiberlain et sa lumineuse « jeune fille qui va bien » :

 
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