Végédream a déjà été la cible de personnes malveillantes. Conscient que la musique ne sera pas éternelle, l’artiste a décidé de préparer son avenir en investissant dans autre chose comme il l’a indiqué à
Agitation. Gentsu vous invite à en savoir plus.
Si cela a été révélé avec La Synésie,
Végédream a vu sa carrière prendre un autre tournant grâce à la Coupe du Monde 2018 et son hit Ramenez la tasse à la maison.
Une consécration qui était notamment pour lui un cadeau empoisonné.
Cela dit,
Vegedream n’a pas eu directement la bénédiction de son père, aussi en musique. Au micro de
Ouihustle, l’artiste a expliqué :
Mon père aimait la musique. Jusqu’à mes vingt ans, il ne voulait pas que je fasse de la musique. Il aimait la musique, il produisait. Il a essayé de produire un groupe qui n’a pas non plus fonctionné. Un groupe de filles. Comme si mon oncle aimait vraiment la musique et que ça marchait vraiment, alors il me disait non. Il m’a dit que la musique, c’est les femmes, c’est un succès éphémère et c’est tout. C’est de la perversion. Il m’a dit « quel talent as-tu ? « . Il ne savait pas (…) Je me suis dit, je vais partir, je vais réussir et vous allez tous partir avec moi. Il m’était impossible de rater ma vie (…) Mon daron quand il disait ça, il ne savait pas que j’avais entendu. Cela m’a fait tellement mal. Alors, je suis parti à l’aventure (…) J’ai fait des allers-retours et pendant longtemps je n’ai plus parlé avec mon père.
« Un afflux d’argent à l’extérieur… » : Vegedream parle de son métier loin de la musique
Il n’est pas rare que des artistes investissent dans différents métiers en dehors de la musique afin d’assurer leur avenir entre la restauration, l’immobilier, l’alcool ou encore le textile.
Végédream a également pensé à tout et expliqué ses autres projets lors de cette interview :
Je me suis un peu lancé dans la production, c’est super dur surtout quand on est artiste. C’est très très dur mais en plus, j’ai ouvert une franchise de magasins en Côte d’Ivoire. Magasins, supermarchés avec produits locaux. J’en suis au deuxième. J’ai acheté des appartements, j’ai acheté de grandes maisons que j’ai transformées en sept ou huit appartements. Et je loue occasionnellement selon la saison à Bourges, Nice et Orléans. Je suis en train d’ouvrir quelque chose au Portugal parce que j’y suis heureux.
Végédream puis ajouté :
Justement pour avoir un revenu en dehors de la musique. Je sais que la musique est éphémère. Dans le sens où nous n’avons pas tous vingt ans de carrière.
Une affaire de famille depuis Végédream fait tout cela avec sa sœur ainsi qu’avec son père.
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