Les finales Next Gen à Riyad ont commencé par une surprise. C’est vrai, le vainqueur du premier match, le « Français d’Italie » Luca Van Assche a un an de plus (né en 2004) que le Chinois Shang Juncheng (2005), mais la majeure partie de l’année, c’est l’Asiatique qui s’est illustré. sur le circuit, s’imposant comme l’un des meilleurs espoirs de tous les -. Pourtant, prêt à partir, c’est l’élève de Vincenzo Santopadre, ancien entraîneur de Berrettini, qui a remporté le succès en battant Shang en quatre sets (4-3 2-4 4-1 4-3). Les règles de la Next Gen, rappelons-le, sont différentes de celles des tournois « normaux », donc des sets plus courts (best of 5), des parties sans avantages et du service tape « valide ». Van Assche, numéro 128 mondial, mère de Bergame et parlant couramment l’italien, a mieux joué les tie-breaks et a semblé en général plus brillant que le Chinois, qui s’est montré un peu ennuyeux dans les phases chaudes du match.
l’autre match
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Lors du deuxième match de la journée, l’Américain Alex Michelsen, tête de série numéro 2 du tournoi, né en 2004, a battu son compatriote Basavareddy, 19 ans, avec un peu trop de problèmes, en quatre sets (2-4 4- 3 4-3 4-2). On parle beaucoup de bien de Michelsen et cela s’est vu contre Jannik Sinner, où il a perdu les deux fois cette année (et Dieu nous en préserve) mais surtout à Cincinnati, il a montré d’excellentes choses contre l’actuel numéro un mondial. Séance du soir très attendue, avec peut-être le défi le plus intrigant de la journée, celui de la tête de série numéro 1, le Français Arthur Fils, 20 ans et en pleine croissance en 2024, et le phénomène potentiel comme Joao Fonseca, Brésilien né en 2006 et tête de série numéro 8. Beaucoup de curiosité surtout pour le Brésilien. Avant Fils-Fonseca, un autre grand espoir est sur le terrain, le Tchèque Mensik (tête de série numéro 3), face à l’Américain Learner Tien.