Oui, c’était une soirée spéciale selon Bednar. Mais rien qu’il n’ait vu auparavant.
“Je ne savais même pas qu’il avait cinq points jusqu’à ce que j’entre dans mon bureau après le match”, a-t-il admis. J’ai l’habitude de le voir jouer comme ça.
« Parfois, il joue un jeu décent, n’est pas aussi impliqué qu’il l’aurait souhaité et est un peu frustré. Puis, dès que l’occasion se présente de jouer, démarrez la machine et devenez dominant.
« Et parfois, la rondelle va dans le filet et rapporte plusieurs points. D’autres fois, ce seront les adversaires qui lui voleront ses buts.
« Ce soir, pour lui, c’était comme si le jeu était au ralenti. »
Dernièrement, on pourrait presque dire la même chose des coéquipiers de MacKinnon, qui ont aidé leur équipe à remporter quatre des cinq matchs au cours de son voyage. MacKinnon a toutefois encore une fois été le leader de sa troupe avec 10 points (trois buts, sept passes) lors de cette séquence.
« Quatre matchs sur cinq ont été incroyables », a déclaré MacKinnon. Il y a encore beaucoup de travail à faire, mais nous nous sentons forts. »
Petit à petit, l’équipe de Bednar (17-13-0) commence à répondre aux grandes attentes que de nombreux observateurs avaient placées en elle en début de championnat.
Malheureusement, c’est tout le contraire pour Crosby et les Penguins (12-14-4), qui ont accordé 30 buts de plus (116) qu’ils n’en ont marqué (86) cette saison.
Le match de mardi mettait en vedette une bataille entre la Nouvelle-Écosse OTAN et Sid, mais en fin de compte, cela n’avait rien d’une bataille. Crosby n’a pas réussi à trouver le fond du filet pour un septième match consécutif.
“Je n’ai pas l’impression d’avoir oublié comment marquer des buts, mais je dois trouver des moyens de tirer plus de tirs et de me rapprocher du filet”, a déclaré le joueur vedette.
L’Avalanche, de son côté, n’a aucun problème à marquer. L’équipe peut, à cet effet, remercier MacKinnon.
Car encore une fois, mardi, il a offert du beau hockey.