Le designer Philippe Geluck s’est confié sur l’une des anecdotes les plus improbables de sa vie, à savoir son voisinage avec Céline Dion au début des années 2000. Une histoire qui comporte un autre aspect encore plus improbable : la maison de la diva aurait été touchée par des phénomènes paranormaux.
A l’approche des vacances, Philippe Geluck, le dessinateur du Chat, publie « Tout est vrai », un livre dans lequel il revient sur diverses anecdotes improbables de sa vie. Parmi celles-ci, une soulève des questions, à savoir « Céline Dion était ma voisine ». La chanteuse québécoise a toutefois vécu dans la région du Brabant wallon, située au sud de Bruxelles, afin de préparer sa résidence à Las Vegas sous la houlette du réalisateur italo-belge Franco Dragone, au début des années 2000.
Mais l’anecdote ne s’arrête pas là, puisque selon la créatrice, la diva aurait emménagé dans une maison… hantée. L’épisode a été rapporté dans l’émission « L’essentiel chez Labro » diffusée sur C8 le 26 novembre. Philippe Geluck explique que l’équipe de Céline Dion avait loué « une somptueuse villa, construite sur un très vieux bâtiment » mais que l’expérience a tourné court.
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« Elle a dû y rester trois mois et cela a duré dix jours car elle ressentait de mauvaises ondes », se souvient la créatrice. La star de la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Paris aurait en effet observé un certain nombre de phénomènes qu’elle aurait fini par associer au paranormal. « Elle a verrouillé une porte à double tour et le lendemain la porte était ouverte, on ne savait pas comment… Il y avait des lumières qui s’allumaient, s’éteignaient, le volet de la piscine s’ouvrait, se fermait… » explique Philippe Geluck.
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Une maison marquée par des événements tragiques
Cette séquence d’événements a convaincu Céline Dion de quitter les lieux, craignant qu’une malédiction ne s’abatte sur elle et sa famille. Toutefois, les événements restant inexpliqués, le caricaturiste belge assure qu’une enquête a été menée par les habitants de la région. “Et en fait on s’est rendu compte que cette maison avait été construite sur les ruines d’un ancien monastère dans lequel des moines devenus fous mettaient fin à leurs jours… Certains s’étaient suicidés, et donc elle a ressenti ces très mauvaises vagues” explique le père du Chat.
Visiblement désireux de croire aux histoires de fantômes, le dessinateur assure que le phénomène continue de se produire, non pas dans la maison mais sur son texte : « avec l’éditeur de page, on compte le nombre de signes que contient le texte. [de cette histoire] : 1488. Le code postal du village » dit le directeur étonné, sûr d’y voir une manifestation surnaturelle au lieu d’une simple coïncidence. Céline Dion a évidemment suivi son conseil, ne remettant plus jamais les pieds dans cette maison au sombre passé.