cette marque de vêtements « petits prix » cherche à s’implanter en ville

cette marque de vêtements « petits prix » cherche à s’implanter en ville
cette marque de vêtements « petits prix » cherche à s’implanter en ville

Par

Nicolas Zaugra

Publié le

17 novembre 2024 à 7h46

Voir mon actualité
Suivez l’actualité lyonnaise

Son logo jaune et bleu ne passe pas inaperçu dans les zones commerciales : l’enseigne Marin fondée aux Pays-Bas est déjà bien implantée dans la métropole de Lyon, à Vaulx-en-Velin, Pierre-Bénite et Rilleux-la-Pape dans des magasins périphériques.

«C’est difficile de nous trouver chaussure à son pied» à Lyon

Pour se développer et toucher de nouveaux clients, l’enseigne de vêtements low-cost recherche une implantation à Lyon.

La direction de la chaîne a confirmé Progrès qu’elle cherchait à s’implanter dans la troisième ville de . « A Lyon, nous cherchons mais il est difficile de trouver chaussure à notre pied, déjà à cause du coût que cela représente mais aussi parce que les locaux ne correspondent pas toujours. Il nous faut au moins 250 m2 de surface utile et avec des piliers à Lyon intra-muros, pour nous c’est compliqué », précise Nathalie Galmiche, responsable commerciale Zeeman France.

La concurrence s’intensifie

Face à la crise de l’inflation, la concurrence s’intensifie entre les marques de vêtements à bas prix et d’équipement de la maison. Primark étend sa surface de vente au centre commercial Part-Dieu, l’enseigne danoise Normal multiplie ses magasins dans la métropole lyonnaise, Naumy, le « Primark français » a ouvert une première boutique au Carrée de Soie, B&M et Action poursuivent leur développement …

Le distributeur Noyer cherche également à s’implanter à Lyon mais comme Zeeman, il ne trouve pas d’emplacement adapté en centre-ville. Le succès des marques « low cost » n’est pas près de s’arrêter…

Suivez toute l’actualité de vos villes et médias préférés en vous abonnant à Mon Actu.

 
For Latest Updates Follow us on Google News
 

PREV une mise à jour Windows 11 24H2 qui fait plus de mal que de bien ?
NEXT des représentants de la Coordination rurale sont à la préfecture de la Gironde