un match difficile avant le match de sa vie pour Ruffiac-Malestroit contre le FC Lorient

un match difficile avant le match de sa vie pour Ruffiac-Malestroit contre le FC Lorient
un match difficile avant le match de sa vie pour Ruffiac-Malestroit contre le FC Lorient
un match difficile avant le match de sa vie pour Ruffiac-Malestroit contre le FC Lorient

Coupe de (7th round). Ruffiac-Malestroit (R2) – FC Lorient (L2), Saturday (3:30 p.m.)

Romain Houeix a été le deuxième joueur à sortir des vestiaires pour s’échauffer et le deuxième également à réintégrer, juste avant le coup d’envoi. Et ce n’est peut-être pas une coïncidence. Le défenseur central de Ruffiac-Malestroit (R2) était impatient de jouer contre le TA Rennes pour basculer définitivement sur une semaine “très particulière”, culminant au 7e tour de Coupe de France, samedi (15h30), face à Lorient ( L2). “Peut-être que si un joueur adverse part seul à la 80e minute, je réfléchirai avant d’intervenir, mais l’idée est quand même de tout donner”, prévenait-il avant le début du match.

Maxime Michel, l’entraîneur du Morbihan, a également aligné son onze type, à une exception près. Le capitaine Guillaume Houeix, blessé, a été préservé avant Lorient. «Je n’ai pas d’autre choix. Je n’ai pas un effectif suffisamment important pour effectuer une rotation. La réserve vient de monter en D1 et le niveau entre les deux divisions est trop important. Seuls quatre ou cinq joueurs de l’équipe B peuvent monter en premier», a reconnu le technicien. Pas un joueur des A non plus n’a fait défection ou n’a demandé à ne pas jouer ce match par crainte de blessure. De toute façon, « ils n’avaient aucun intérêt, c’est au sélectionneur de décider. Sinon, j’aurais fait mes choix pour Lorient.

Sur le terrain, Romain Houeix, capitaine d’un jour, et ses coéquipiers ont été assez nettement battus (4-1). Un revers attendu par tout le monde alors qu’il était au maintien, Ruffiac-Malestroit avait encaissé huit buts, ici, la saison dernière. «On divise par deux», s’amuse Houeix. Les Morbihannais ont notamment péché en agressivité. Une coïncidence alors que se profile le match de sa vie. « Tout le monde y pense, même le sélectionneur », a reconnu Gilles Lamy, numéro 9. « C’est un événement qui arrive très rarement. Mais on n’a pas joué avec le frein à main, on a quand même couru. Ils étaient tout simplement meilleurs que nous.

« Contre Guipry, la semaine dernière, on a peut-être déjoué en pensant à Lorient (défaite 2-0), mais pas là », a confirmé Hugo Lanoë, le buteur du jour. Nous n’avons pas triché. La consigne était de tout donner et elle a été respectée. En tout cas, je n’ai pas calculé par rapport à la Coupe. Il n’y avait aucune crainte de blessure de notre côté. C’est quand on y pense qu’on est blessé. Florian Tastard pourra en témoigner : le petit numéro 7 a été contraint de sortir après avoir été touché au mollet. Mais sa présence samedi n’a pas semblé être comprise. Ce fut finalement la seule frayeur d’un après-midi où Ruffiac ne tremblait même pas après un éventuel avertissement. Aucun joueur n’était menacé de suspension pour avoir accumulé des cartons jaunes. Seul le rouge direct devait être évité à tout prix. Mission parfaitement accomplie, l’arbitre de terrain n’a délivré qu’un seul avertissement à un joueur Rennais. “Sur ce point, il y a eu un peu de retenue de la part de notre ligne défensive et de nos milieux dans les duels, car un rouge arrive vite”, a reconnu Romain Houeix, souriant jusqu’aux oreilles, car il savait désormais ce qui allait se passer. attendu : le match d’une vie. “On a pris beaucoup de vagues aujourd’hui (dimanche), mais contre Lorient, ce sera dix fois pire”, a conclu le tout jeune papa.

 
For Latest Updates Follow us on Google News
 

PREV Taiwan, la démocratie et le développement sont les « lignes rouges » de la Chine, dit Xi à Biden
NEXT Le prix médian des maisons unifamiliales a augmenté de 21 % à Stoneham et Lac-Beauport