dans les prisons, la rumeur (sans preuve) d’assassinat par un clan rival

dans les prisons, la rumeur (sans preuve) d’assassinat par un clan rival
dans les prisons, la rumeur (sans preuve) d’assassinat par un clan rival

Plus de trois semaines après sa fuite, Mohamed Amra et ses complices sont toujours en liberté. Le 14 mai, l’embuscade tendue contre un convoi pénitentiaire au péage d’Incarville, dans l’Eure, lui permet de s’évader. L’attaque, d’une extrême violence, a fait deux morts : les surveillants pénitentiaires Arnaud Garcia et Fabrice Moello, décoré de la Légion d’honneur. L’enquête a mobilisé plusieurs centaines de personnes, et le procureur de Paris a promis, le 21 mai, « des pistes sérieuses « . Mais toujours aucune arrestation en vue, une situation qui favorise la multiplication des rumeurs.

Vols de drogue

Selon Le Parisien, Dans les prisons françaises, la rumeur circule parmi les détenus selon laquelle Mohamed Amra ne s’est pas évadé, mais qu’il a été kidnappé par un gang rival, torturé et tué. Faute de preuves, cette théorie n’a été confirmée par aucune Source officielle ; les enquêteurs privilégient toujours la théorie d’une fuite organisée. La rumeur pourrait trouver sa Source dans des révélations sur le mode de vie du fugitif lorsqu’il était incarcéré à la prison de La Santé à Paris. Des écoutes téléphoniques réalisées dans le cadre d’une précédente enquête, en 2022, avaient révélé que l’homme gérait un réseau criminel depuis sa cellule.

Grâce aux lancers de colis, il a reçu dans son portable des téléphones portables, des cartes SIM et des cartes bancaires prépayées. Il pouvait également compter sur l’aide de plusieurs jeunes femmes présentes au parloir qui se faisaient passer pour sa sœur. Il était en mesure de donner des ordres directs à ses troupes, a révélé l’enquête. Il a notamment sponsorisé des vols de drogue auprès d’un clan rival. Mohamed Amra a ensuite été transféré à l’isolement à la prison des Beaumettes à Marseille.



Un superviseur pourrait être amputé

Suite à l’attaque du fourgon à Incarville, deux surveillants pénitentiaires sont toujours hospitalisés », dont un qui pourrait potentiellement être amputé d’un membre »indiqué mercredi 5 juin 2024 le https://twitter.com/BFMTV/status/1798254308267315400?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1798254308267315400%7Ctwgr%5Ea13f33407c97fda4cd00ff21d28143b1d5958016%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Fwww.leparisien.fr%2Ffaits-divers%2Fevasion-meurtriere-de-mohamed-amra-deux-de-nos-collegues-sont-encore-hospitalises-annonce-le-syndicat-ufap-unsa-05-06-2024-AENFMGMCLVBYNGT7GEQRCNMWSI.php Wilfried Fonck, secrétaire national du syndicat des surveillants pénitentiaires UFAP-UNSA. Nous sommes conscients que ce qu’ils (les blessés) ont vécu dans cette affaire n’aurait jamais dû arriver si chacun avait pris ses responsabilités au bon moment, et peut-être aussi avait transmis les informations qu’il était nécessaire de transmettre au moment où ils devaient le faire. se transmettre”il a déploré.

 
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