un Afghan de 22 ans emprisonné, ce que l’on sait

un Afghan de 22 ans emprisonné, ce que l’on sait
un Afghan de 22 ans emprisonné, ce que l’on sait

Un jeune Afghan de 22 ans est soupçonné d’avoir fomenté un attentat. Son arrestation mardi 8 octobre en Haute-Garonne a des « liens » avec l’arrestation d’un autre Afghan quelques jours plus tôt aux Etats-Unis.

Le FBI a en effet détecté et placé sous surveillance cet Afghan de 27 ans, résidant en Oklahoma, au centre du pays. Un homme engagé dans l’idéologie de l’État islamique et qui s’apprêtait à commettre un attentat le jour de l’élection présidentielle américaine du 5 novembreselon le parquet national antiterroriste (Pnat).

Fin septembre, des enquêteurs américains alertent la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) que le suspect a aussi un petit frère en France. Ce qui est immédiatement entré dans les radars des services antiterroristes.

Preuve d’allégeance à l’État islamique

Lundi dernier, l’aîné, aux Etats-Unis, est entré en possession deux Kalachnikovs. Avant d’être arrêté par le FBI. Alertés, les services français ont immédiatement placé son petit frère en garde à vue.

Selon le Pnat, des preuves d’allégeance à l’État islamique ont été retrouvées dans son téléphone. Mais aussi des éléments indiquant un possible plan d’action violent en France contre un stade ou un centre commercial. Sans être allé jusqu’à acquérir des armes.

Conformément aux réquisitions du Pnat, il a été mis en examen pour association de malfaiteurs terroristes par un juge d’instruction, puis placé en détention provisoire par un juge des libertés et de la détention, assisté d’un interprète, et qui a statué à huis clos.

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Entreprise – Des tensions ont eu lieu en Gironde lors de la mobilisation samedi 12 octobre contre la ligne à grande vitesse Sud-Ouest. Selon la gendarmerie, 800 à 1.000 personnes se sont rassemblées à Lerm-et-Musset (près de Bordeaux) sur le tracé du projet LGV qui doit relier Bordeaux à Toulouse et Dax d’ici 2032.

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Moyen-Orient – Emmanuel Macron estime que « l’arrêt des exportations d’armes » est le « seul levier » pour mettre fin aux conflits à Gaza et au Liban.

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