La Landaise Hélène Pédurthe portera la flamme olympique en Dordogne

La Landaise Hélène Pédurthe portera la flamme olympique en Dordogne
La Landaise Hélène Pédurthe portera la flamme olympique en Dordogne

Quel est le point commun entre Laure Manaudou, Tony Parker, Nando de Colo, Jean-Pierre Papin, Soprano, la drag queen Miss Martini et la Landaise Hélène Pédurthe ? Chacun aura le plaisir de porter la flamme olympique partie d’Athènes le 27 avril 2024 à bord du « Belem », et qui arrive ce mercredi 8 mai en France en débarquant à Marseille.

Quel est le point commun entre Laure Manaudou, Tony Parker, Nando de Colo, Jean-Pierre Papin, Soprano, la drag queen Miss Martini et la Landaise Hélène Pédurthe ? Chacun aura le plaisir de porter la flamme olympique partie d’Athènes le 27 avril 2024 à bord du « Belem », et qui arrive ce mercredi 8 mai en France en débarquant à Marseille.

« Sport, amis, troisièmes mi-temps. » Hélène Pédurthe est une passionnée de sport depuis toute petite. Une flamme qui brûle en elle depuis son adolescence, à Houga, dans le Gers (où elle jouait au basket) et encore aujourd’hui à Mont-de-Marsan où elle s’est installée il y a quelques années. Une passion qui a poussé ce pimpant sexagénaire à rêver d’une autre flamme, olympique. « Cela fait trois ans que j’en rêve, avoue Hélène Pédurthe.

Déterminée, elle s’est renseignée sur les démarches à entreprendre pour porter ce flambeau lors de son grand voyage en France. « D’autant plus qu’il ne passera pas par les Landes », constate-t-elle. Ce qui n’a en rien entamé sa conviction de poursuivre son rêve. Au point qu’elle a adressé une lettre à Tony Estanguet, le grand patron de Paris 2024. « Il m’a répondu comme une lettre au Père Noël », poursuit la joyeuse sexagénaire.

Aide de ses deux filles

Les Jeux Olympiques « ont toujours fait frissonner Hélène ». « La flamme véhicule des valeurs fortes qui me collent à la peau, comme la paix et la solidarité », poursuit-elle.

Ses deux filles, Marion et Fanny (âgées respectivement de 28 et 26 ans) ont été mises à contribution. « Il fallait écrire une histoire sur moi. Ils prirent la plume. Quand je l’ai lu, j’ai fondu en larmes», avoue Hélène avec un grand sourire.

La Landaise continue de « surfer sur la vague de la vie ». Début janvier 2024, elle apprend que son récit a été retenu par le jury. «J’ai eu du mal à y croire», savoure-t-elle. Hélène fera ainsi partie de ce gigantesque relais olympique.

En Dordogne

“Quelle chance j’ai !” insiste-t-elle. Je n’ai jamais abandonné cette idée pendant trois ans. Je n’ai jamais douté. J’ai toujours été positif. »

Le rêve deviendra réalité ce mercredi 22 mai, en Dordogne. Hélène devra parcourir une distance de 200 mètres « en tenant la flamme olympique ». “On ne peut pas imaginer ce moment, j’ai vraiment hâte d’y être”, ajoute-t-elle.

Adepte de courir – « une à deux fois par semaine » –, la sexagénaire n’a rien changé à ses habitudes, afin de continuer à s’entraîner pour le grand jour. Cela va passer « si vite », alors elle « a envie de profiter de chaque seconde de ce moment unique ».

« Il n’y a que deux manières de vivre : l’une en prétendant que rien n’est un miracle, l’autre en prétendant que tout est un miracle. » Hélène Pédurthe a fait sienne cette citation d’Albert Einstein pour résumer son histoire. Celui d’un rêve auquel il faut s’accrocher coûte que coûte. Et qui mène sur le chemin du bonheur.

 
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