Alors que le télescope spatial James Webb de la NASA présente son appareil photo de 122 mégapixels « Resolve ». On pense que « Resolve » a la capacité de prendre des photos infrarouges à moins de 1,5 million de kilomètres de la Terre. Ce tout nouveau sky-peeper peut réaliser une science spatiale révolutionnaire avec 36 pixels.
Le dernier observateur du ciel de l’agence spatiale peut apporter une approche différente. Grâce aux connaissances de TechCrunch sur la science spatiale révolutionnaire développée certains des meilleurs esprits de l’Université d’Arizona et du Jet Propulsion Laboratory de la NASA, cette caméra peut être le paparazzo cosmique ultime.
Pouvez-vous résoudre le mystère de l’espace avec « Resolve ? »
Avec sa taille compacte et sa technologie suralimentée, cet appareil photo est plus qu’un joli visage : il change la donne pour l’exploration spatiale. Pensez à des instantanés simultanés de merveilles célestes, des galaxies lointaines aux gros plans planétaires, le tout avec des détails époustouflants, capturant le cosmos dans une symphonie de la lumière.
“L’instrument Resolve peut détecter les rayons X “doux”, qui possèdent une énergie environ 5 000 fois supérieure aux longueurs d’onde de la lumière visible”, explique la NASA. Son objectif principal devrait être l’exploration des régions cosmiques les plus chaudes, des structures les plus grandes et des objets célestes les plus massifs, tels que les trous noirs supermassifs.
Industrie réagit !
La NASA a expliqué que l’instrument peut percevoir les mouvements des éléments au sein d’une cible et offre une perspective tridimensionnelle. Malgré son nombre limité de pixels, chaque pixel de Resolve est remarquable, capable de générer un riche spectre de données visuelles englobant une plage d’énergie de 400 à 12 000 électrons-volts.
Les experts du secteur suggèrent que que vous soyez un observateur d’étoiles rêvant de mondes lointains ou un scientifique à la recherche d’indices cosmiques, cet appareil photo peut être votre nouveau meilleur ami. « Préparez-vous à explorer la dernière frontière comme jamais auparavant, un pixel à la fois ! Il ne s’agit pas simplement d’un instantané dans le temps – c’est un bond en avant dans notre quête de compréhension de l’univers », a conclu Siddharth Chandrashekhar, avocat et conseiller à la Haute Cour de Bombay.
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