Quels films voir au cinéma ce mercredi 1er mai ? Nos critiques de la semaine, avec « Au bout du monde »

Quels films voir au cinéma ce mercredi 1er mai ? Nos critiques de la semaine, avec « Au bout du monde »
Descriptive text here

Voici nos critiques de quatre films en salles ce mercredi 1er mai 2024.

“Jusqu’au bout du monde” de Viggo Mortensen

Années 1860, au cœur de l’Ouest américain. Lorsque Vivienne Le Coudy, originaire de Québec, rencontre Holger Olsen, un immigrant d’origine danoise, elle tombe sous le charme de ce bel homme tranquille et emménage avec lui dans une maison isolée du Nevada. Mais lorsque la guerre civile éclate et que cet homme courageux part au front, elle se retrouve seule face à ceux qui rôdent autour de sa propriété. Offrant à Vicky Krieps un magnifique rôle de femme moderne, indépendante et sexy, Viggo Mortensen forme avec elle un couple époustouflant. Et quand il allie, à travers une photographie sublime, grands espaces et grandes sensations, il démontre, en outre, que c’est comme ça que le cinéma est génial !

Découvrez également : Rencontre – Vicky Krieps : « J’ai tendance à être têtue »

“Le Fall Guy” de David Leitch

Cette nouvelle comédie d’action de Davis Leitch (Train à grande vitesse) prouve qu’il est l’un des cinéastes les plus libres du moment. Porté par Ryan Gosling, il suit les aventures d’un cascadeur à Hollywood. Entre la réalisatrice de ses rêves (Emily Blunt) et l’acteur star auquel il est associé (Aaron Taylor-Johnson), la carrière de Colt Seavers semble toute tracée. Mais un va tout chambouler. Entre clins d’œil et autodérision, la comédie conjugue les rebondissements pour nous offrir un film plein de vitamines.

« Une question de principe » d’Antoine Raimbault

Le directeur deUne conviction intime confirme son talent avec ce récit tiré de faits réels. Bruxelles, 2012. Suite au limogeage opaque du commissaire à la Santé, le député européen José Bové (Bouli Lanners) va entraîner son fidèle assistant (Thomas VDB) et une stagiaire zélée (Céleste Brunnquell) dans une enquête qui les mènera face au tabac. les lobbys. Aussi prenant qu’un épisode de Sherlock Holmes, ce long-métrage prend vie grâce à l’humanité naturelle de ses acteurs et leur merveilleuse complicité.

« Le tableau volé » de Pascal Bonitzer

Quand André Masson (Alex Lutz), commissaire-priseur chez Scottie’s, retrouve, chez un ouvrier de Mulhouse, un tableau d’Egon Schiele pillé par les nazis en 1939, il sait que c’est sa plus belle aubaine. Mais, pour gérer cet épineux dossier, il devra s’appuyer sur son ex-femme et collègue (Léa Drucker), et sa fantasque stagiaire (Louise Chevillotte). Malgré une histoire romantique et un casting formidable, le film souffre d’un rythme inégal et d’une mise en scène moins fantaisiste qu’il ne le souhaiterait. Dommage.

 
For Latest Updates Follow us on Google News
 

PREV Chroniqueur de TPMP absent de l’émission, Cyril Hanouna en dévoile les raisons
NEXT « Ça sent la poudre »… Cédric Doumbè en vient aux mains avec son futur adversaire Jaleel Willis lors de la pesée