qu’es-tu devenu Mathieu Valbuena ?

Le 1^est En septembre dernier, Mathieu Valbuena (40 ans) disputait ses premières minutes sous les couleurs de l’Athens Kallithea FC, son nouveau club. Entré à la 71e minute contre le Panathinaïkos, l’ancien international de l’équipe de France n’a eu besoin que de 9 minutes pour inscrire son premier but pour le promu grec, son 106e.^e réalisation de carrière. Une carrière qui l’a vu jouer pour l’Olympique de Marseille et l’Olympique Lyonnais en France mais aussi voyager en Russie (Dynamo Moscou), en Turquie (Fenerbahçe SK), à Chypre (Apollon Limassol) et en Grèce (Olympiakos, Athens Kallithea FC). Après près de 20 ans au haut niveau, Mathieu Valbuena ne compte plus “ne mets pas de limites” en préparant « à cette fin, parce que c’est inévitable. » Il a pris le temps de parler de son parcours, de sa fierté d’avoir réussi dans chacun de ses clubs tout en suivant de près l’actualité du football français. Entretien.

Vous avez rejoint cet été l’Athens Kallithea FC, club promu en première division grecque, comment se passe ce début de saison ?

Je suis arrivé à la fin de ma préparation, j’ai eu le Covid directement en arrivant donc j’ai eu 3-4 jours qui ont été un peu compliqués. Mais depuis trois matches, je suis dans le groupe, j’ai fait mon premier match, ma première entrée, j’ai marqué contre le Panathinaikos. Et puis j’ai fait deux autres entrées, donc petit à petit, on s’adapte.

Pourquoi avez-vous signé pour l’Athens Kallithea FC ? Était-ce une envie de retourner en Grèce après votre passage à l’Olympiakos (2019-2023) ?

Oui, la Grèce est un pays que j’aime. Athènes est une ville que j’aime beaucoup pour y avoir déjà passé quatre ans. Cet été, c’est vrai que j’ai eu beaucoup d’occasions de jouer dans d’autres pays, que ce soit en Roumanie ou en Macédoine. Mais je voulais revenir à Athènes, tout simplement parce que j’adore cette ville et j’y ai également créé mon académie en avril dernier. Pour moi, la priorité a toujours été de revenir ici.

«Je ne continuerai pas pour continuer»

Vous êtes passé par Marseille, Fenerbahçe et l’Olympiakos, des clubs où l’ambiance est souvent chaude, était-ce aussi un argument pour rester en Grèce ?

Oui, oui, bien sûr. C’est vrai qu’il y a beaucoup de supporters, beaucoup de ferveur ici. C’est une ambiance que j’aime et je suis ici en terrain connu. La saison dernière, à Chypre à l’Apollon Limassol, ce fut aussi une belle expérience. Là, je suis à Kallithéa dans un contexte différent de celui de l’Olympiakos. C’est une personne promue, on s’adapte aux situations, je suis très heureux de pouvoir revenir dans le championnat grec.

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