Saviez-vous que les bibliothèques parisiennes organisent des projections gratuites tout au long de l’année ? Films primés, animations ou documentaires : pour en profiter, il suffit de vous inscrire. Et compte tenu de l’offre cinéma extrêmement riche, nous avons fait une sélection pour le mois d’octobre !
« Petite Miss Soleil »
Olive, 7 ans, ne rêve que d’une chose : devenir la prochaine reine de beauté. Alors, lorsqu’elle reçoit une invitation à participer au prestigieux concours « Little Miss Sunshine » en Californie, toute la famille décide de l’accompagner dans cette aventure. C’est le début d’un incroyable road trip sur les routes de Californie…
“De l’autre côté du ciel”
Lubicchi vit au milieu de grandes cheminées qui émaillent l’atmosphère de sa ville d’une épaisse fumée. Il rêve de découvrir les étoiles dont son père, ramoneur comme lui, a tant parlé. Un soir d’Halloween, il rencontre une étrange créature, avec qui il décide de s’envoler dans le ciel…
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Nous allons le voir… le message écologique qu’il véhicule, pour la beauté des couleurs et des images ainsi que pour les références à la pop culture (Tim Burton, mangas, etc.) qui se cachent dans certaines scènes.
« Les racines du monde »
C’est dans les steppes mongoles que vivent Amra et son père Erdene, chef des derniers nomades. Face à leur mode de vie menacé par les sociétés minières, qui veulent expulser les familles de ces terres riches en or, Erdene continue de se battre et de résister. De son côté, Amra rêve de participer à un télécrochet. Mais lorsque son père meurt tragiquement, il décide de prendre la relève et de consacrer son temps à sauver ses terres.
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Nous y allons pour… les paysages grandioses des plaines désertiques de Gobi, et pour l’émotion de ce récit autour d’une culture traditionnelle en danger, à laquelle font face les grandes entreprises internationales.
“L’énergie positive des dieux”
Entre les riffs de guitare électrique, la poésie sauvage de leurs textes et l’énergie folle qui se dégage de ses quatre membres, le groupe Asteréotypie impose une présence scénique digne des plus grands noms du rock. La seule différence est qu’il est composé de personnes autistes.
“Une nuit entière sans savoir”
Une étudiante indienne écrit des lettres à son amant absent. A travers cette correspondance, se dévoilent les changements radicaux qui s’opèrent autour d’elle. Mêlant réalité, rêves, souvenirs, fantasmes et peurs, le récit évolue petit à petit, et les sentiments de la jeune fille font écho à ceux de toute une génération.
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Nous y allons pour… le montage sacrément astucieux, qui alterne entre scènes intimistes et images de fureur collective, et puis aussi de suivre au plus près l’histoire des révoltes étudiantes en Inde.
“Kirikou et la sorcière”
On connaît tous la chanson de ce classique de Michel Ocelot : « Kirikou est petit, mais il est vaillant… » Avant même de quitter le ventre de sa mère, il sait déjà parler ! Cela veut dire quelque chose. Et à peine né, il se pose beaucoup de questions. Alors, lorsqu’il apprend que son village est sous l’influence de la sorcière Karaba, qui a tari leur Source et volé leur or, il décide de comprendre pourquoi cette femme est si méchante et pourquoi les hommes qui ont tenté de la combattre ont tous disparu.
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